Comme promis voici le second épisode de mes aventures avec ce médecin délicieusement pervers.
C’était cet hiver et nous convînmes d’un rendez-vous un samedi matin car il devait partir en début d’après-midi.
A l’heure dite, c’est-à-dire 11h00, je sonnai à sa porte. Il vint m’ouvrir et après les salutations d’usage il me fit passer dans sa salle d’attente qui était vide. Il s’éclipsa pour revenir par la porte de son cabinet, revêtu de sa blouse blanche quelques minutes plus tard.
Il me fit asseoir devant son bureau et me demanda l’objet de ma visite. Comme je savais qu’il était pressé j’avais préparé un petit scénario qui, pensais-je, allait abréger les préliminaires oratoires.
- Eh bien voilà docteur, j’ai, comment dire, des problèmes d’érection
Si j’avais pensé couper court au questionnement médical c’était raté, car je dus subir un interrogatoire complet sur les circonstances, la fréquence, etc…
Enfin, après avoir répondu à toutes les questions du mieux que je pouvais car, je le rappelle, tout va bien de ce côté, il me dit :
- Bon eh bien nous allons voir ça, veuillez-vous mettre en slip
Je m’exécutais et posais tous mes vêtements sur ma chaise à l’exception de mon boxer.
Il me fit approcher du lit de consultation et prit son tabouret pour venir s’asseoir face à moi.
Il glissa ses doigts sous la ceinture de mon boxer et le fit glisser le long de mes cuisses jusqu’au-dessus des genoux.
Il prit ma queue et la décalotta puis il empoigna chacune de mes bourses dans une main et commença à me palper les testicules. Enfin palper est incomplet car il jouait littéralement avec en les rapprochant, les éloignant, les faisant rouer entre ses doigts, les malaxant et quelquefois les pressant. Il semblait beaucoup s’amuser avec et y prendre énormément de plaisir.
À un moment il les pressa si fort que j’eus un sursaut et un mouvement de recul, ce qui eut pour effet de faire tomber mon boxer sur mes chevilles.
Il continua quelques instants puis se leva, m’invita à m’allonger sur le lit et me dit :
- Nous allons examiner votre prostate, jusque-là tout semble normal
Je m’exécutai en posant au passage mon boxer sur la chaise où reposaient déjà mes autres vêtements.
Il enfila un gant en latex sur sa main droite, y déposa une dose de lubrifiant sur l’index et commença à me masser mon petit trou avec le gel. Quand il jugea que c’était bon il enfonça son index dans mon anus et débuta une fouille en règle de mon orifice.
Il avait posé sa main gauche sur mon ventre au niveau du nombril et avec sa main droite il me fouillait méthodiquement. De temps à autre il reculait son doigt jusqu’à presque le sortir pour prendre de l’élan et le pousser encore plus loin.
Inutile de préciser que ma queue avait commencé à bien durcir. Il termina son examen en retirant son doigt et jeta son gant dans la poubelle.
Je le vis prendre alors un godemichet sur sa desserte sur lequel il enfila un préservatif qu’il enduisit d’une noisette de gel. C’était un godemichet recourbé à son extrémité qu’on appelle « spécial point G ».
Il reposa sa main gauche sur mon nombril, présenta le gode à l’entrée de mon anus et poussa doucement pour le faire entrer dans un mouvement lent et continu jusqu’à ce qu’il soit complètement enfoncé dans mon anus. De plus il avait activé la fonction vibrations.
La sensation était inouïe : mon anus était rempli, les vibrations ajoutaient au plaisir mais surtout l’extrémité recourbée qu’il avait disposée vers le haut venait titiller ma prostate.
Quand il le fit coulisser d’avant en arrière et réciproquement j’eus l’impression que quelqu’un était en moi et me caressait de l’intérieur.
Il laissa le gode enfoncé en moi au maximum, toujours vibrant et sa main gauche se déplaça vers mon sexe, passa dessous et le dressa à la verticale. Sa main droite, quant à elle plongea dans la poche de sa blouse et en ressortit armée du sex-toy rouge qui avait conclu le premier épisode.
Il le posa sur ma queue, il vibrait également et il le fit parcourir mon sexe en insistant particulièrement sur le gland, frottant l’ourlet et le frein.
Ce qui était extraordinaire c’est que le gode dans mes fesses avait des vibrations à haute fréquence mais de faible amplitude alors qu’avec le sex-toy c’était l’inverse, basse fréquence et forte amplitude, si bien que lorsqu’elles se rencontraient c’était une tempête.
Je gémissais et haletais, la sensation était fantastique, à ce rythme là je n’allais pas durer longtemps.
Peut-être le sentit-il car il rangea son sex-toy et tout en laissant le gode dans mon anus il se déplaça vers la tête du lit, passa derrière moi et posa ses coudes de part et d’autre de ma tête. Il les pressa sur mes oreilles, j’étais donc sourd, et avec ses mains il frôla mes tétons. Puis la caresse se fit plus précise jusqu’à ce qu’ils commencent à pointer. Alors il les prit entre pouce et index et les fit rouler entre ses doigts. De temps à autre il les griffait doucement ou les pressait comme s’il attendait que du lait en sorte….
Soudain alors qu’il les pressait il les tordit fortement, ce qui eut pour effet de m’arracher un petit cri. Il les relâcha et atténua la douleur par de nouvelles caresses très douces.
Il les abandonna et revint vers mon ventre. Il ressortit son sex-toy et recommença ses caresses divines.
Je recommençai à haleter et le prévins que je n’allais pas tarder à venir. Il me répondit :
- Retiens-toi, ne jouis pas !
C’était bien gentil mais mon corps ne m’obéissait plus vraiment. Je tendis le bras pour essayer de l’arrêter, il hurla alors
- NE ME TOUCHE PAS !!
Le ton employé m’avait un peu refroidi, ce qui me fit gagner quelques minutes mais au bout du bout je finis par jouir. Bizarrement c’était plus une jouissance cérébrale que physique, il n’y avait pas eu d’éjaculation bien que les spasmes aient été violents.
Il arrêta ses caresses, retira le gode de mon anus et jeta le préservatif dans la poubelle.
Il posa sa main sur ma poitrine en un geste apaisant et au bout de quelques secondes il la descendit vers mon ventre. Ma queue était toujours dure été excitée et quand sa main vint au contact j’eus un sursaut. Il posa sa main sur mon sexe et le caressa doucement, il me demanda :
- Tu veux que je remette le gode ?
- Non merci ça va aller
Il continua ses caresses qui ne tardèrent pas à se transformer en une masturbation en règle. Après quelques instants de ce traitement j’eus un second orgasme, cette fois-ci bien physique et j’explosai en de longs jets.
J’étais épuisé. Il me laissa me reposer et me tendis un rouleau d’essuie-mains pour me nettoyer. Comme la première fois il me proposa de prendre une douche mais je savais qu’il était pressé et comme il était déjà midi passé je déclinai.
Une fois rhabillé il me raccompagna jusqu’à la porte et nous nous dimes au revoir.
