Épisode 2.
N entend un petit bruit qui vient de la table basse. C’est certainement A qui y a déposé sa sacoche.
A s’approche de N; il sent sa présence malgré le masque. Sa respiration s’accélère. A prend doucement le bras droit de N avec sa main gauche pour lui faire sentir qu’il est là et le soutenir. Il pose sa main droite sur le ventre nu. La main caresse le ventre en se dirigeant vers le pubis. Arrivée à la toison, A prend le sexe dans la paume de sa main et le branle avec douceur, N commence à bander.
- C’est la première fois que tu te retrouves avec un mec pour une expérience sexuelle comme celle dont nous avons parlé ? Est-ce que tu peux confirmer que son cul est bien vierge ? Qu’est-ce que que tu as comme expérience, car cul vierge ne veut pas dire absence de rencontre entre mâles.
N ressent déjà le plaisir donné par la main de A qui le branle. Sa respiration est devenue un peu plus rapide, il répond comme il peut :
- Oui c’est la première fois pour beaucoup de choses. Ouh ! tu me fais du bien et j’ai un peu de mal à me concentrer. Laisse moi un peu reprendre mon souffle.
A arrête de branler la bite de N et de la main gauche le dirige vers le canapé. Il ramasse le peignoir au sol, le pose sur le canapé et conduit N pour qu’il s’assoie dessus. Il prend les deux genoux de N et les écarte pour que le sexe soit bien en évidence au creux de ses cuisses, on pourrait même par moment apercevoir le départ du sillon fessier au gré des caresses sur la bite et les boules..
- Oui mon cul est vierge. Aucune bite n’y est entrée. Aucun gland n’a jamais visité le sillon de mes fesses, ni effleuré ma petite rondelle. Bien sûr je me fais parfois plaisir avec du lubrifiant, un doigt, un petit plug anal ou une bite en silicone. D’ailleurs j’ai apporté tout cela avec moi. C’est dans la salle de bain. Mon expérience avec les mâles ? Seulement à l’adolescence, quelques caresses furtives. J’ai pris des bites dans mes mains, je les ai branlées. Une fois j’ai même sucé un gland. Mais c’est finalement très peu de choses que j’ai fini par oublier et qui sont très loin des désirs que je ressens aujourd’hui.
- Donc tu vas goûter à des plaisirs qui seront nouveaux pour toi. Garde tes cuisses bien ouvertes. Encore un peu plus; que ton sexe se détache sur l’étoffe du peignoir. Oui, comme cela c’est très bien. Bon, j’ai quelques petites choses à faire.Tu peux t’astiquer doucement la tige en attendant,
N enserre la base de son sexe avec la main gauche ce qui fait ressortir les testicules. De la main droite il calotte et décalotte le gland dans un mouvement lent et ample. Quand le gland apparaît lorsque le prépuce se retire, on peut constater qu’il est déjà humide, rouge et luisant.
N se demande ce que A va faire. Il l’a entendu s’éloigner. Puis un bruit d’étoffe. Est-ce A se déshabille ? N espère que non. La situation où il est totalement nu devant A habillé lui procure beaucoup de plaisir. A a dû tout simplement retirer sa veste. Puis de nouveaux bruits viennent de la table basse. N pense que A a ouvert sa sacoche et en extrait des choses.
Il lui semble maintenant que A revient près du canapé.
Il sent sa présence. Puis un premier « clic » lui fait comprendre que A le photographie. Suivi d’une prise de photos en rafale. N sent un picotement de plaisir en lui. Il est là, assis sur le canapé, totalement nu, les cuisses écartées, les testicules comprimées par sa main gauche. Il se masturbe de la main droite. Tout cela sans aucune pudeur, devant A qui le regarde et prend des photos. N pourrait ressentir une certaine gêne, voire un peu de honte, de s’offrir ainsi sans retenue et sans savoir ce que A qui l’observe en pense. Mais c’est tout le contraire. N est envahi par une forte jouissance engendrée par cette situation. Un exhibitionnisme extrême, sans limite sur ce qu’il montre à A, sur les caresses et la masturbation qu’il imprime à son sexe. Il ne voit rien du regard et des réactions du spectateur, seul le cliquetis de l’appareil photo témoigne du plaisir que A prend à ce spectacle; ce sont pour N des sensations inconnues mais que dans le fond il a toujours recherchées. Il en est reconnaissant à A. Maintenant, il désirerait un peu plus. Il aimerait que A le touche en guise de reconnaissance, d’approbation de ce que N lui montre et qu’il lui dise quelques mots.
A est fasciné par le spectacle qu’il a sous les yeux, à la fois excitant et intrigant. Il a pris de nombreuses photos. Des vues d’ensemble, sous différents angles, de N sur le canapé en train de se masturber. Des gros plans sur le haut des cuisses ouvertes avec les testicules gonflées et le sexe décalotté. Des portraits de N, le masque sur les yeux, la bouche ouverte; sa respiration un peu forte qui témoigne du plaisir qui l’habite. A pose l’appareil photo sur le canapé. se met à genoux sur le sol entre les jambes de N. Il pose ses mains sur chacune des cuisses au niveau des genoux et les caresse en remontant vers l’entrejambe. Il s’adresse à N :
⁃ - Détends toi, je vais m’occuper de toi.
Quand ses mains arrivent en haut des cuisses, A prend doucement celles de N, encore affairées sur son sexe, et les conduit pour qu’elles reposent sur le canapé, du côté extérieur de chaque cuisse. Ensuite il le fait glisser vers lui pour que ses fesses soient au bord du canapé. Ainsi les testicules et le sexe ne reposent plus directement sur le canapé et pendent une peu vers sol. Le sexe de N est encore dur, le gland décalotté est luisant; une perle de jute affleure au niveau de l’orifice.
N s’est détendu, en attente des initiatives de A Sa tête est un peu en arrière, appuyée sur le dossier du canapé, sa bouche est ouverte, un long soupir de plaisir et de repos exprime à A le désir et l’abandon total de N.
A s’adresse à N :
- Voici les règles: tu feras ce que je te dirai de faire, tout ce que je te dirai. Si quelque chose te mets vraiment mal à l’aise, tu me le dis, sinon silence radio. Tu ne bouges que si je t’en donne l’ordre. Safe sex, je ne mettrai jamais ton intégrité physique en danger mais je pourrais parfois te causer de la douleur pour provoquer ton plaisir.
A prend les boules de N dans sa main, les tire un peu vers lui et les observe. Il lui dit :
- Tu te rases n’est-ce pas ? Mais il semblerait que le barbier soit en vacances depuis quelques semaines ! On s’occupera de cela plus tard.
A a saisi les testicules de N, et les presse de plus en plus fort. N est surpris par ce geste et se cambre sous la pression qui pèse sur ses couilles. Mais déjà A a desserré l’étreinte et ajoute :
- Je suis ici pour t’initier au plaisir du sexe entre hommes, attention tu risques d’en devenir accro.
A n’a pas lâché les testicules. Il les presse à nouveau très fort et les tire vers le bas. C’est un petit sursaut et un soupir de plaisir qui viennent saluer cette initiative de A N aimerait que ses testicules descendent encore plus bas sous la traction des mains de A Il sent que la peau est déjà tendue, mais c’est tellement bon qu’il souhaiterait aussi un mouvement de branle de ses couilles, vers le bas, à gauche, à droite.
- Cela t-a-til plu ? demande A
- Oui. Beaucoup. Continue s’il te plaît. Bien fort, tire dans tous les sens.
A serre toujours les testicules et amorce un mouvement où il les tire d’un coup un peu sec vers le bas. Puis il les secoue rapidement de haut en bas en tirant au maximum quand il descend. Il entend N râler. Il perçoit un mélange de souffrance physique, comme quand on fait un effort, mais aussi de plaisir.
N commence à comprendre ce que disait A : « je pourrais parfois te causer de la douleur pour provoquer ton plaisir « . Il aime sentir la poigne forte de A sur ses testicules. Il ressent la pression qu’il exerce et qu’il relâche. À chaque fois, cette force qui s’applique sur ses parties le fait sursauter et râler de douleur / plaisir. Le plaisir d’exhibition qu’il ressentait tout à l’heure est décuplé. Il sait qu’il est totalement nu devant A habillé. Il est à moitié allongé sur l’assise du canapé, le bassin juste au bord, les jambes écartées; le sexe, les testicules pendent dans le vide et A, entre ses cuisses qui le prend avec force. N n’avait pas imaginé l’intensité de ce qu’il ressent. Il y a le plaisir physique, intense, parfois un peu douloureux et le plaisir intellectuel de s’offrir aux initiatives de A, de sentir cette force sans brutalité qui le prend. Il jouit de cette soumission qu’il n’a jamais connue.
A secoue maintenant les testicules dans tous les sens, en maintenant une traction pour les étirer. La bite de N suit le mouvement. Elle est projetée tantôt sur son ventre, sur le haut de la cuisse droite ou de la cuisse gauche en suivant le mouvement. N entend le bruit qu’elle fait, semblable à celui d’un linge mouillé qui vendrait frapper une surface dure. Il sent que sa bite ainsi ballotée se durcit.
N n’a plus de notion du temps. Il est à plein dans ce qu’il vit. Puis petit à petit la pression et le mouvement sur ses testicules se réduisent avant de s’arrêter..
A s’approche du visage de N :
- tu n'as pas eu de fellation faite par un homme, n'est-ce pas?
N peut à peine articuler, il est encore sous le coup de ce qu’il vient de vivre :
- Non
Il pense intensément que A va le sucer et il a une bouffée d'adrénaline. A s'est penché en avant, N sent sa respiration sur son gland, il entend A lui dire :
- j’adore ta verge mon ami, j'ai tant de fois vu et revu les photos que tu m'as envoyées, je suis fana des beaux gros glands comme le tien et j'adore par dessus tout les prépuces charnus.