j’avais rencontré il y a de très nombreuses années un vieux monsieur en forêt alors que je me promenais en porté jarretelle culotte et soutien gorge qui m’avais fessé avec un bâton le derrière et ensuite m’avais frotter les fesses aux orties.
J’en ai gardé un crainte vive.
il y a une semaine ce monsieur, qui est maintenant en maison de retraite loin de mon domicile, m’a recontacter pour qu’il vide son ordinateur des photos qu’il avait de moi.
Je lui ai parler de mon souvenir de la punition aux ortie et il m’a ordonner d’en refaire une.
je devai remplir ma culotte d’ortie fraîche puis la remonter aussi haut que je le pouvait, d’abord pour deux minutes.
ensuite il me fallait la baisser a mis cuisse et la remplir d’une autre botte d’ortie fraîche, d’attendre 10 minute puis de la remonter et de marcher 10 minute avec celle ci en position haute.
Enfin après 30 minute de pose je devais remplir une troisième fois ma culotte, cette fois ci principalement de tiiges et de petite feuille, dans le triangle de derrière, mais aussi dans le fond en disposant 6 tiges et sur le devant en disposant quatre tiges garnie de feuille .
Je devais alors remonter cette culotte, me rhabiller et rouler ( en moto) le plus longtemps possible.
La douleur que procure l’ortie est de plus en plus forte lorsque l’on réitère une application.
les aiguilles remplie de sève urticante se casse au contact de la peau, injectant à leur venin sans pouvoir rien y faire.
Les andomorphine ne sont efficace que sur lla première application.
les tiges sont les éléments qui comportes les plus longues et grosses pointes , et donc le plus d’urticant.
A la deuxième remonté de culotte j’ai eu beaucoup de mal à résister de crier.
j’étais seul en forêt.
je me suis mordu la lèvre et j’ai émis des râles pendant que je marchais les 10 minutes.
lorsque j’ai remonté pour la troisième fois ma culotte j’ai hurlé, j’ai fondu en larme, mes jambes tremblaient, mon sexe n’était que douleur.
Lorsque je me suis assis sur ma moto, mettant en contact les tiges d’ortie sur mes bourses, il a falllu que je me lève, et je suis parti debout sur la moto.
j’ai tenu 10 kilomètre, en pleur et chaque fois que je m’asseyais je criais.
je me suis arrêtée sur un bas côté un peu protégé des regards et j’ai vidé ma culotte à pleine main.
Hélas la douleur a duré plus de deux heures de manière très intense.
le fond de ma culotte en satin était mouillé car les orties avait fait des vésicules qui s’étaient rejointe et qui suinté un liquide corporelle de réaction.
la douche du soir à un peu adouci la sensation. la nuit a été pénible, et j’ai ressenti les picotement jusqu’au lendemain matin de manière très estompé.
J’ai raconté ma punition au monsieur qui m’a félicité et m’a dit que se punir sois même aux orties était une des hoses les plus dur à faire pour un soumis.