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Aimeriez-vous rencontrer cette dominatrice ?

Envoyé par sandratvtg 
Travesti, 47 ans, France, Nord-Pas-de-Calais
Après midi torride,

J'arrive chez Sylvia qui m'a été chaudement recommandée par un ami.
Une voluptueuse brune en déshabillé transparent m'ouvre la porte.
Elle a les yeux bruns en amande et ses lèvres gourmandes témoignent d'une sensualité à fleur de peau.
Sa robe de nuit s'ouvre sur un corset rose qui me dévoile ses seins sublimes.
Un slip brésilien et quatre paires de jarretelles tendues sur ses cuisses fuselées la rendent irrésistible.
Perchée sur ses cuissardes à talons aiguilles, elle me fait rentrer dans son salon en m'invitant à m'asseoir.

Au cours de notre conversation, elle croise et décroise lentement ses jambes pour me laisser entrevoir sa culotte en satin.
Quelques instants plus tard, elle glisse sa main entre mes cuisses pour mieux recueillir mes confidences:
- Dis-moi quelles sont tes attentes?
Excité par cette superbe créature, je lui avoue le but de ma visite.
- J'aimerai vivre cette journée en fille, lui dis-je d'une voix hésitante.
- J'ai tout ce qu'il faut pour te féminiser, m'assure Sylvia.
- Ne perdons pas de temps ma belle, rajoute-t-elle en s'adressant désormais à moi au féminin.
- Puisque tu es déjà parfumée et épilée, je vais t'aider à choisir tes dessous.
En me prenant par la main, elle m'entraîne en souriant dans sa chambre.
Après m'avoir deshabillée, elle m'ouvre son armoire débordante de guêpières, corsets, porte jarretelles, nuisettes, jupons vaporeux...
Me voyant rouge d'excitation et indécise, elle finit par choisir elle même mes dessous qu'elle m'aide à enfiler.
Elle termine par une séance de maquillage en me plaçant devant le miroir pour que je puisse juger du résultat.
- Regarde ma chérie comme tu es craquante, me chuchote-t-elle à l'oreille.
La glace me renvoie l'image d'une fille portant une ravissante lingerie.
Mes lèvres sont peintes d'un rouge intense pour les rendre pulpeuses, mes yeux ornés de faux cils sont mis en valeur par du eyes liner et un fond de teint affine le grain de ma peau.
Je porte également une perruque blonde mi courte qui encadre mon visage.
Mes seins siliconés menacent de faire exploser les bonnets 105/D de ma guêpière.
A cause de leurs poids, je sens les bretelles de ma guêpière me cisailler les épaules à chacun de mes pas.
Une culotte fendue enveloppe ma queue dans un écrin de dentelle et de soie en dévoilant mon oeillet au regard de Sylvia.

Elle achève ma transformation en me glissant dans une nuisette rose et en accrochant mes bas aux quatre paires de jarretelles.
Je caresse avec volupté ces mailles brillantes qui m'électrisent la peau en contemplant le galbe parfait de mes jambes sublimé par mes escarpins.
Je ne peux m'empêcher de virevolter devant la glace en admirant ma silhouette élancée et ma taille bien prise dans ma ravissante guêpière.
Je fais quelques pas dans la chambre pour sentir l'excitante tension du nylon sur mes cuisses.
Pendant ce temps, Sylvia s'approche sournoisement de moi.
Avant que je puisse réagir, elle me culbute sur le lit.
Profitant de son effet de surprise, elle glisse sa main dans ma culotte ouverte.
Puis, elle exerce de légers pincements à la racine de ma queue en la pressant entre son pouce et son index pour me faire bander.
Elle amplifie mon désir en frottant ses cuisses contre les miennes pour je sente l'excitant contact du nylon et que j'entende le crissement de nos bas.
Je tombe définitivement en son pouvoir lorsqu'elle plonge avec perversité son majeur dans mes fesses.
Très expérimentée, elle le recourbe vers le haut en massant mon point G avec insistance.
- Tu mouilles beaucoup ma belle et ton anneau est déjà bien ouvert, me dit-t-elle avec une pointe d'excitation dans la voix.
- Attends moi un instant, je reviens, rajoute-t-elle d'une voix sibylline.

Peu après, elle réapparaît vêtue d'une cape rouge et de cuissardes assorties.
Perchée sur ses talons, elle s'approche de moi, sensuelle et dominatrice.
Lorsqu'elle entrouvre sa cape, je découvre l'impressionnant gode qui se balance lourdement entre ses cuisses.
Je regarde avec un mélange d'excitation et d'inquiétude cette queue massive qu'elle attache solidement à sa taille.
Son gland épais se prolonge d'une hampe sur laquelle courent de grosses veines saillantes.
Je n'arrive pas à détacher mes yeux de ce sexe démesuré.
- Il mesure plus de trente centimètres, mais c'est surtout son diamètre qui va te faire craquer m'assure-t-elle.
Elle me le montre complaisamment sous tous les angles en le lubrifiant abondamment.
Puis, avec une lueur trouble dans le regard, elle me plaque contre le mur de sa chambre.
- Je veux te prendre debout à la hussarde, me dit-t-elle d'une voix rauque.
A la fois troublée et excitée par ce qui m'attend, je contrôle mal mon émotion et ma maîtresse ne peut s'empêcher de sourire en voyant ma queue jaillir par la fente de ma culotte.
Ses yeux rivés dans les miens, elle remonte son genou gainé de nylon à l'intérieur de mes cuisses en le pressant contre ma queue.
Me voyant craquer sous cette irrésistible caresse, elle me dit:
- Maintenant, tourne toi face au mur.

Mon cœur bat la chamade lorsque ma belle dominatrice accroche ses mains à ma taille en posant son gode contre mon anneau.
Lorsqu'elle m'écarte les fesses avec ses pouces, je cambre les reins dans l'attente d'être prise.
J'attends son assaut les bras tendus appuyés contre le mur de sa chambre.
C'est à grands coups de reins qu'elle me viole sans retenue.
Agrippée à moi, elle m'embroche jusqu'à la garde.
Sans s'arrêter, elle me laboure le ventre en me clouant littéralement au mur.
Un peu plus tard, elle me retourne face à elle en soulevant une de mes jambes contre sa hanche et en plaquant ma queue contre mon ventre pour s'enfoncer plus à fond.
Ne tenant plus en équilibre que sur un talon aiguille, je m'accroche à son cou pour me stabiliser.
Face au miroir, j'ai du mal à croire que je suis cette fille qui se fait trousser à demi nue en découvrant ses jarretelles.
Mon corps tréssaille sous les assauts de ma maîtresse qui ne ménage pas ses efforts.
Lorsqu'elle se retire de mes reins, j'entends le gode aspiré par mes chairs sortir dans un bruit de succion.
- Tu es maintenant bien ouverte ma chérie, me dit-t-elle.
Je contemple avec incrédulité ce pal monstrueux qui retombe sur ses genoux en me demandant comment j'ai pu être prise par un tel calibre.
Me voyant déstabilisée, elle m'adresse un sourire complice:
- Suis moi, je te réserve d'autres surprises.

Elle m'allonge sur son lit et glisse deux coussins sous mes fesses en me soulevant les jambes.
- C'est la meilleure position pour te pilonner la prostate, m'assure-t-elle.
Plaçant ses épaules dans le creux de mes genoux, elle me baise longuement sous tous les angles en explorant les moindres recoins de ma grotte.

Puis, Sylvia saisit un gode muni d'un manche.
- Avec ce jouet, je vais pouvoir te fouiller la chatte avec plus de précision.
Mon cœur bat la chamade, quand elle me retourne sur le ventre en m'écartant les fesses.
Lorsqu'elle m'empale, je ferme les yeux pour mieux ressentir mon plaisir.
Mais c'est l'inverse qui se produit, j'ai l'impression d'être ouverte en deux lorsque mes chairs s'écartent sous la pression douloureuse du pal.
Sylvia me possède méthodiquement avec la régularité d'un métronome en m'empêchant de refermer les cuisses.
Je pousse alors fortement pour m'embrocher plus rapidement et abréger mes souffrances.
Impitoyable, ma maîtresse continue à me violer sans scrupule.
Peu à peu, m'habituant à ce gros calibre qui va et vient en moi, je contracte mes sphincters pour mieux le sentir s'enfoncer dans mes fesses.
Lorsqu'elle le ressort, ma rosette s'étire dessus comme si elle voulait le retenir.
Puis, lorsqu'elle l'enfonce à nouveau dans mes reins, elle la regarde s'enrouler sur le pal.


Sylvia s'active avec une habilité diabolique jusqu'à ce quelques gouttes de sève coulent sur ma guêpière.
- J'ai trouvé ton point G, jubile-t-elle.
Quelques instants plus tard, elle réalise à mon souffle court et aux tressautements de ma verge que je vais jouir.
J'essaye en vain de retenir la lave qui monte en moi.
- Laisse toi aller ma belle, me chuchote-t-elle à l'oreille en faisant glisser lentement son ongle sur mon frein pour m'achever.
Mon orgasme est indescriptible et j'explose en gémissant de plaisir.
Sylvia accompagne chacun de mes spasmes en pilonnant ma prostate.
A chaque pression du gode sur ma glande, ma sève jaillit en retombant en arabesques blanchâtres sur ma guêpière.
Elle éclate de rire en me voyant terrassée par l'orgasme.
La séance n'est pas terminée, m'affirme-t-elle en m'embrassant à pleine bouche tout en me pressant les seins.
- Tu avais des réserves, s'exclame-t-elle en montrant du doigt ma lingerie recouverte de sperme.
Après un court instant de repos, elle décide de me remettre en forme.
Pour cela, elle enfonce d'emblée trois doigts dans ma chatte restée largement ouverte tout en faisant glisser une de ses nuisettes entre mes cuisses.
Les frottements du satin sur mon gland décalotté associés à la pression de ses doigts dans mon fourreau anal ne tardent pas à provoquer mon érection.

Arrivée à ses fins, elle plaque son clito gorgé de sang contre mon sexe turgescent.
Avec l'instinct d'une mante religieuse qui a trouvé sa proie, elle plonge ma queue dans sa chatte avide de sexe.
Survoltée, Sylvia s'active un long moment sur mon bâton de chair avant de jouir en m'inondant le ventre de cyprine.
- Je vais maintenant te faire découvrir une de mes spécialités, me dit-t-elle.
Elle me fait asseoir sur son matelas, le dos appuyé contre la tête de lit en me lubrifiant abondamment l'anus.
Puis, elle engage son spéculum XO dans ma chatte.
C'est un cylindre creux qui peut s'ouvrir jusqu'à dix centimètres de diamètre beaucoup plus efficace que ceux à deux ou trois branches.
- C'est l'appareil idéal pour obtenir un parfait cerclage de l'anus...
Elle le laisse en place un moment pour bien me dilater l'oeillet.
- Tu vas aimer cette gâterie, me murmure-t-elle à l'oreille en recouvrant son bras de silicone.
Un instant plus tard, avec une facilité déconcertante, elle plonge sa main dans ma grotte en sentant mes sphincters se refermer sur son poignet.
Puis, Sylvia me soulève les fesses en bloquant son avant bras à la verticale contre le matelas.
Avec un plaisir non dissimulé, elle me regarde m'empaler lentement par le poids de mon corps.
Puis, elle m'allonge sur le dos.
Lorsqu'elle plonge son bras jusqu'au coude dans mes entrailles, je suis stupéfaite de voir ses doigts bouger sous la peau de mon ventre lorsqu'elle me masse la prostate.
Ayant décidé de me porter le coup de grâce, elle fait glisser sa langue sur mon frein jusqu'à ce que j'explose en jets puissants dans sa gorge.
S'étouffant sous la pression de mon sperme qui lui éclabousse les lèvres, elle s'empresse de l'avaler rapidement.
J'ai l'impression de jouir comme une fille en utilisant ma queue comme un clito et mon cul comme un vagin.
- Nous allons faire une pause pour te laisser récupérer, me dit-t-elle.
Cette fois, elle me laisse choisir ma nouvelle tenue d'alcôve.

Devant le miroir, je plaque sur mes hanches un serre taille de couleur rose.
Sa forme à la fois sensuelle et rétro me plaît beaucoup.
Après une longue hésitation, je craque devant une charmante nuisette à balconnets en satin ornée de fines bretelles.
J'accroche avec volupté mes bas résilles aux jarretelles et j'enfile comme une seconde peau une longue paire de gants en soie qui me couvre les bras en accentuant mon côté glamour.
Je me glisse ensuite dans une robe bustier en voile transparent ouverte sur le côté qui découvre ma cuisse à chacun de mes pas.
Enfin, je troque ma perruque bouclée blonde par une autre coupée au carré de couleur brune.

Pendant que je me contemple devant la glace, Sylvia en profite pour me glisser de volumineuses prothéses en silicone dans mes bonnets 105/D.
Excitée par la taille de mon sexe qui n'a cessé de grandir pendant la séance, elle vient se coller contre moi en me murmurant à l'oreille:
- Surtout ne mets pas de culotte ma chérie, ce serait dommage de cacher une si belle queue.
- Tu dois me laisser un libre accès à tes fesses, rajoute-t-elle d'une voix sibylline.
D'un air amusé, elle regarde ma verge pointer sous mon déshabillé transparent.
- Il est grand temps que je te vide les couilles, me lance-t-elle dans un langage volontairement trivial pour stimuler ma libido.

Sans attendre, elle m'allonge sur son lit en relevant ma robe et ma nuisette sur mon ventre.
- Nous allons nous gouiner entre filles! S'exclame-t-elle en m'enfonçant son majeur dans les fesses tout en saisissant un vibro caché sous l'oreiller.
Avec précision, elle le pose sur mon frein jusqu'à ce que les vibrations fassent perler un liquide transparent à la surface de mon gland.

Une fois de plus, Sylvia se révèle une merveilleuse maîtresse en anticipant mes désirs.
Pour retarder mon orgasme, elle soulève le vibro dès qu'une goutte de sève coule le long de ma hampe
Puis, elle le pose à nouveau sur mon frein pour faire apparaître la suivante.
Dans le même temps, elle fait coulisser son doigt de plus en plus vite dans ma grotte.
A son regard brûlant, je sais qu'elle a décidé de me faire jouir.
Pleine de désir, j'ouvre en grand les cuisses pour qu'elle puisse plonger sa main dans mes fesses pour m'achever.

Trés vite, une vague déferlante de plaisir me submerge accompagnée d'une longue coulée de sève ininterrompue qui se répand sur mon corset et mes bas.
Sylvia poursuit son fist jusqu'à ce que ma source de vie se tarisse.

- Je vais maintenant tester sur toi une fucking machine que je viens de recevoir, me dit-t-elle
Elle me déshabille en me laissant uniquement mon serre taille, mes bas et mes escarpins.
Souhaitant me faire une surprise, elle me bande les yeux avant de me guider dans la pièce voisine.
Elle m'aide à monter deux marches et à m'allonger sur une surface lisse.
Je me rends compte qu'il s'agit d'une table médicale quand elle m'attache les pieds aux étriers.
Lorsqu'elle retire mon bandeau, je reste stupéfaite en découvrant mon nouvel univers.
Je me retrouve dans une petite pièce entièrement recouverte de miroirs.
Un objet insolite est placé devant moi et mon regard est attiré par la longue tige métallique qui est pointée entre mes cuisses et sur laquelle est fixé un gode impressionnant qui va en s'élargissant jusqu'à sa base.

- Jusqu'à présent, j'utilisais des godes ceintures pour satisfaire mes amants mais j'étais frustrée de ne pas pouvoir jouir.
- Désormais, je peux t'offrir des sensations fortes tout en m'empalant sur ta queue.
- Je vais te baiser pendant que cette petite merveille t'enfilera mieux que moi.
- Elle a plusieurs programmes que je peux modifier à tous instants.
- Je peux régler la profondeur des pénétrations, la vitesse et l'intensité des vibrations.
- J'ai également la possibilité d'adapter des godes de différents diamètres pour satisfaire tous les désirs, me dit-t-elle en me jetant un regard en coin.
Sans perdre de temps, elle m'attache à l'aide de sangles qu'elles passent sur mes seins et mon ventre.
- C'est pour t'empêcher de bouger et éviter que la machine ne te blesse pendant la séance, me précise-t-elle pour me rassurer.

S'apercevant que je bande à moitié, elle me caresse l'intérieur des cuisses.
- Heureusement, j'ai de quoi te remettre en forme, me dit-t-elle en souriant.
Elle sort d'une armoire un long tube en verre prolongé par un tuyau au bout duquel est fixé une pompe.

Je reconnais un vacuum.
- Cet instrument en faisant le vide d'air va te faire bander rapidement, m'assure-t-elle en glissant mon sexe dans le cylindre en verre.
Lorsqu'elle actionne la poire, je sens ma verge s'étirer et se dilater progressivement en atteignant vingt centimètres sur le verre gradué.
Mais ce qui m'étonne le plus, c'est son épaisseur.
Je vois mon gland gonfler démesurément et venir s'écraser sur la paroi de l'appareil.
Sylvia contemple d'un air satisfait mon sexe turgescent à travers le verre dépoli.
Puis, elle le sort du tube en glissant un anneau pénien à sa base pour me faire garder mon érection.
- J'aime les glands épais comme le tien car ils me donnent davantage de plaisir, me dit-t-elle ravie.

Elle règle ensuite la hauteur de la machine en engageant le gode dans ma chatte.
- Je vais commencer par le programme d'initiation, me dit-t-elle d'une voix rassurante.
Lorsqu'elle appuie sur la télécommande, je sens le pal s'enfoncer de quelques centimètres dans ma grotte.
Tout en me masturbant, elle me fait découvrir les multiples ressources de l'engin.
Au bout d'un moment, la poussée du pieu devient si puissante que mes fesses se soulèvent à chaque va et vient.
Puis, la machine alterne les rythmes lents et rapides.
Lors de sa progression, le diamètre du pal s'accroît en me donnant des sensations fortes.
Sylvia choisit ce moment pour poser un vibro sur mon frein et un autre sur mon périnée.
Un plaisir intense m'envahit le ventre pendant que la machine continue à m'empaler sur un rythme soutenu.
Cette triple stimulation du Pénis, du Périnée et de la Prostate (les 3 P) m'amènent très vite au bord de l'orgasme.
Lorsqu'elle voit ma queue tressauter de désir, Sylvia se place à califourchon sur moi pour s'empaler sur ma verge en me disant:
- Je ne veux pas que tu jouisses sans moi.
Insatiable, elle entame de lentes et puissantes bascules du bassin d'avant en arrière qui me mettent dans tous mes états.
Je gémis de plaisir lorsque sa chatte me serre la queue pendant que le gode va et vient sans trêve dans mes reins.
Parfois, Sylvia s'arrête de me chevaucher en tournant lentement ses fesses sur ma verge qui lui sert de pivot.
- Tu aimes ça mon ange, me dit-t-elle d'une voix chaude en me voyant trembler de désir.
Ayant déjà jouis plusieurs fois, je résiste d'autant mieux à ses assauts.

Mes yeux se posent sur les miroirs de la chambre qui reflètent de tous côtés des scènes excitantes.
J'admire les seins et la superbe chute de reins de Sylvia.
Sanglée dans son corset, elle continue à se trémousser sur mon dard avec une rare perversité.
Mon désir monte crescendo quand je vois le gode démultiplié par les miroirs me pénétrer inlassablement sous tous les angles.
- Fais-moi jouir, me supplie Sylvia en me tendant son vibro.

Quelques minutes plus tard, chauffée à blanc, elle est sur le point de jouir.
Je sens son anneau se contracter de plus en plus souvent sur ma queue.
Elle craque lorsque je m'enfonce à fond dans ses reins en stimulant son clito avec mon vibro.
Elle pousse un cri aussitôt suivis de ses spasmes et gémissements de bonheur.
- Eh bien ma chérie, tu m'as fait prendre mon pied, me dit-t-elle encore haletante de plaisir.
Reprenant ses esprits, elle passe à son tour à l'action en me gardant toujours en elle.

A l'aide de sa télécommande, elle augmente l'intensité des vibrations en enfonçant le gode au plus profond de mes entrailles.
Les talents de ma maîtresse conjugués au rythme soutenu de la machine font monter mon désir.
Je me cambre autant que me permettent les sangles dans l'attente du fabuleux orgasme qui va m'emporter.
Sylvia me chevauche sur un rythme effréné en m'écrasant les bourses tant son excitation est grande.
Soudain, des râles de plaisir s'échappent de ma gorge lorsqu'un orgasme puissant me fait éclater la tête.
Je suis à la limite de perdre connaissance lorsque ma semence fuse dans ses fesses.
Le corps tendu en arc de cercle, je jouis dans une succession de spasmes qui manque de la désarçonner.

Ses yeux de braise rivés sur moi, elle contracte fortement ses muscles intimes pour pomper mes dernières gouttes de sève.
Puis, elle se lève pour aller contempler le pieu toujours plongé dans ma grotte.
- C'est un véritable spectacle de te voir empalée par un tel calibre, s'exclame-t-elle admirative.
Elle le retire doucement de mes reins en me laissant l’œillet grand ouvert.
- Il va mettre du temps à se refermer, me dit-t-elle en riant.
Puis, elle me libère de mes liens en remettant de l'ordre dans ma tenue et en alignant les coutures de mes bas malmenées lors de nos jeux.
Terrassée de fatigue, je me rhabille en gardant sur moi ma voluptueuse lingerie.
Je la quitte à regret en me promettant de la revoir très vite.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 25/07/16 20:31 par bobvoyeur.
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