Expériences

Bonjour à tous,

Je m'appelle Felipe, 52 ans et marié. Je vais vous raconter mes rares expériences, rares mais intenses.

Ma première fois, j'avais 26 ans. A l'époque, jeune marié. Ma femme travaillait jusque 20h ce jour là. Il faisait chaud et je suis allé profiter un peu dans une gravière naturiste côté allemand. Les hommes ne m'intéressaient pas forcément même si j'éprouvais une certaines curiosité.

J'étais installé sur le sable, un peu à l'écart, un peu protégé. Il devait être 17h. Un couple est arrivé. La cinquantaine. Visiblement allemands. A ma grande surprise, ils se sont installés à deux mètres de moi, il y avait pourtant de l'espace. Ils se sont déshabillés et là autre surprises, ils étaient tous les deux piercés. Elles tétons, clitoris, grandes lèvres, lui au gland. Ils se sont installés à ma droite mais pas parallèlement, non, perpendiculairement. Bien entendu, je ne pouvais m'empêcher de jeter des regards, d'autant plus qu'elle s'amusait à tirer sur les anneaux de ses grandes lèvres. J'ai commencé à bander. Et en regardant de façon un peu plus insistante madame se tripoter, je me suis fait cramer. Bien entendu, je connaissais les règles du naturisme sur les mateurs mais ça ne s'est pas passé comme je le craignais et même dans mes rêves les plus fous, je n'imaginais pas que ce qui va suivre puisse m'arriver. Loin de sembler offusquée, ni elle, ni lui d'ailleurs, elle m'a adressé un grand sourire. Je me suis lancé. Dans un allemand approximatif, je lui ai fait remarquer que tout ça était très jolie. Et à ma grande surprise, elle m'a répondu 'kommt'... Alors je me suis approché. Son mari a commencé à jouer avec les anneaux des tétons, elle est passée du tripotage d'anneaux à une exhibition dans les règles de l'art. Son regard semblait me dire 'qu'attends-tu ?' alors j'ai touché. Ses seins d'abord, j'ai tiré ses tétons annelés puis je suis allé explorer sa chatte, lisse et trempée. De son côté, elle a posé sa main sur ma queue et a commencé à me caresser. Tout ça a duré quelques instants, je ne sais plus vraiment combien. J'étais passablement excité et eux aussi. Un petit bois jouxtait la plage de sable, elle m'a dit de les retrouver là-bas dans 5 minutes. Après s'être rhabillés sommairement, ils se sont engoufrés entre les arbres. J'ai attendu 5 minutes pour les rejoindre, comme convenu. J'avais craint qu'ils ne fuient mais non, ils étaient là, au rendez-vous. Les serviettes sur le sol, eux de nouveau nus. Lui la bite tendue, elle couchée sur le dos. Je me suis allongé entre ses cuisses et j'ai commencé à lui lécher la chatte. C'était bon, dégoulinant de mouille. Elle m'a fait me mettre sur le dos, a englouti ma bite à son tour. Je n'ai pas compris de suite quand son mari s'est agenouillé à hauteur de mon visage mais ça a été beaucoup plus clair quand il m'a pris la tête et m'a fourré sa queue dans la bouche.
J'ai aimé ça. Son gland suintait, il allait profond. Je faisais de mon mieux pour le satisfaire et visiblement, il aimait. J'ai paniqué dans j'ai senti sur mon gland la moiteur brulante de sa vulve. Je n'avais pas de préservatif, ça ne semblait pas la déranger, j'ai pas su dire non. Elle s'est empalée, j'ai continué à sucer la queue de son mari.
Madame dirigeait la manoeuvre, quand elle s'est relevée pour s'allonger sur le dos, cuisse ouverte, c'est à son invitation que je suis allé m'introduire en elle. J'ai vu son mari retirer son piercing, je n'ai pas trop pensé, occupé à besogner madame. Quand il a enduit sa bite de gel lubrifiant, j'ai pensé en toute innocence que le truc allait partir en double pour elle. J'attendais le changement de position quand il m'a empoigné les fesses à deux mains, c'était ferme, sans appel. J'étais planté en elle, je n'ai pas osé dire non. J'ai senti son gland sur mon anus. Il a fait ça bien, j'avais souvent enculé ma femme et surpris par la facilité avec laquelle je m'introduisais en elle, elle m'avait dit que c'est parce qu'elle aussi en avait envie. Alors je suppose que moi aussi j'en avais envie parce que je me suis retrouvé avec sa bite plantée dans mon cul en deux temps trois mouvements. Je l'entendais souffler dans mon cou. Une sensation étrange, j'étais dans sa femme et lui il était en moi. Echange de bons procédés. Il a attendu un peu avant de commencer à me limer. Elle l'encourageait. J'avais un peu mal mais j'étais trop excité. Tellement excité que j'ai senti que ça venait, j'ai lâché en elle, bien au fond. Elle s'est mise à couiner tout en jouissant et j'ai alors senti le foutre me remplir le cul. Quand nous nous sommes dégagés, il s'est précipité sur la chatte de sa femme pour en boire le jus. J'étais encore tout dilaté, son jus me sortait du cul. Je crois bien que cette salope a eu un nouvel orgasme pendant qu'il la nettoyait. Nous nous sommes séparés après quelques blablas. Je suis revenu de temps en temps mais sans les revoir. Mais ça m'a permis de faire d'autres rencontres. Je suis rentré, je me suis douché. Ce soir là, j'ai baisé ma femme avec une intensité qui l'a surprise. Et plus généralement, le souvenir de cette première expérience m'a toujours boosté. J'ai été un peu inquiet mais mon métier d'alors m'imposait un suivi médical régulier et aucune mauvaise surprise n'est venue ternir ce souvenir.

Dans les semaines suivantes, je suis retourné à plusieurs reprises dans le petit bois. Je profitais des horaires décalés de mon épouse. J'ai fait plusieurs 'rencontres', souvent des hommes mûrs (il faut dire que c'était principalement ce type d'homme qui fréquentait l'endroit), pas toujours performants mais il y a eu quelques belles rencontres. J'avais 26 ans, je bandais dur et fort. J'ai branlé et sucé, j'ai été branlé, sucé. A ma grande surprise, les hommes que je rencontrais étaient assez peu enclins à aller plus loin que la fellation. Jusqu'à ce que je rencontre un nommé Henri. Il avait la bonne cinquantaine, il était alsacien, pas trop grand, mince mais avec du muscle. Un sexe pas très épais mais vraiment long. Quelques regards, puis on s'est isolés dans un petit coin. D'entrée de jeu, Henri m'a dit qu'il avait envie de m'enculer et sans répondre, je me suis placé en position, au sol, à quatre pattes. Je n'ai pas eu à le sucer longtemps, il était dur. Il a enfilé un préservatif, m'a craché sur l'anus. Il est rentré doucement mais bien à fond, il a commencé à aller et venir en moi. Bien au fond, en cadence. Il m'a limé pendant 5 bonnes minutes et là, sans me branler, j'ai eu un des meilleurs orgasmes de ma vie. Pendant qu'Henri me baisait, je me vidais de mon sperme. Je bandais à peine mais mon foutre s'écoulait sans arrêt. J'ai terminé Henri avec ma bouche en lui massant les couilles. J'ai continué à le pomper pendant qu'il éjaculait.
Autre belle rencontre avec un allemand cette fois. Lui était plutôt passif. Sa queue était énorme, longue, épaisse, veineuse et une paire de couilles bien pendantes. Il est tombé à genoux devant moi et m'a sucé. Puis il a enfilé une capote sur ma queue et s'est penché en avant, appuyé sur un arbre. Je l'ai baisé comme ça, fort, en lui prenant la queue pendant que je l'enfilais. Il aimait ça. Au moment fatidique, il a arraché la capote et je me suis vidé dans sa bouche. Puis à mon tour, j'ai insisté et je l'ai longuement sucé. Il faisait durer le plaisir puis vers la fin, il m'a baisé la bouche, jouissant loin dans ma gorge.
Dernier moment fort, je me baladais lorsque j'ai remarqué un petit attroupement. Dissimulé par la végétation, ils étaient 5 ou 6 et faisaient cercle autour d'un couple d'hommes. Ils baisaient fort, sans capote. Les autres regardaient en se masturbant. J'ai rejoins le cercle. J'y étais à peine que les mains de mon voisin de gauche se sont posées sur ma queue. Je bandais. J'ai pris à mon tour sa tige et voyant le regard envieux de mon voisin de droite, j'ai saisi également sa bite. J'en étais là lorqu'un homme s'est collé dans mon dos. J'ai pu apercevoir un homme mûr, chauve. J'ai senti ses mains écarter mes fesses et sa queue se faufiler... J'ai laissé faire. Son gland tapait sur mon anus, il allait et venait cherchant à s'introduire en moi. Il y est partiellement parvenu, mon anus enserrait son gland. Il se branlait entre mes fesses. Devant moi, un des deux mecs se faisait défoncer le cul par son partenaire et un autre se préparait à prendre la place. Mon voisin de gauche qui surveillait celui derrière mois, s'est alors penché et m'a sucé. Celui derrière mois m'a éjaculé sur les fesses, celui d'à côté s'est déversé sur ma main et moi j'ai tout lâché dans la bouche de l'autre.

Voilà bien deux récits bien excitants. J' aime.

Dernière anecdote de cette époque. Nous partons en vacances avec madame, mes parents nous ont laissé leur caravane, une petite deux places. On tourne dans les campings dans le nord de l'Espagne. Nous arrivons dans un camping vers 14h, chaleur d'enfer. On s'installe et on file aux douches. Les douches hommes ne sont pas dans un état terrible, des cabines face à face mais sans portes ! Je me dirige vers le fond et je m'installe, derrière moi, arrive un homme la soixantaine, mince, très bronzé. On se salue, il s'installe face à moi. Il n'a que sa serviette autour de la taille. Il pénètre dans la douche et commence à se frotter. D'abord en me tournant le dos puis il me fait face. Devant mes yeux ébahis, il savonne une bite déjà dure et quel morceau ! Il me regarde longuement, continue à alterner savonnage et masturbation. Il se cabre alors vers moi tout en décalottant sa verge puissante. Je craque. Je traverse et rentre dans sa douche, je me penche et le gobe direct. Sa queue va et vient dans ma bouche, elle est énorme et m'envahit. Je le suce un bon moment puis je le sens se cabrer et sa semence gicle. Il me remplit, son jus est abondant, épais et très salé. Il me demande alors de l'enculer. Il fouille dans sa trousse de toilette, sort un préservatif, l'ouvre et me l'enfile avec la bouche. Puis il se penche et guide ma bite. Je suis surpris que ça rentre aussi facilement, c'est comme dans la femme ! Je l'encule sans ménagement et visiblement, il aime ça, son cul est bien ouvert, bien dilaté. Quand il sent que je vais jouir, il me demande :
- hechame tu lefa dentro del culo (fout moi ton sperme dans le cul)

Je retire la capote, il reste penché mais écarte ses fesses avec les mains, je me branle un peu et au moment de lâcher, je mets mon gland juste contre son anus. Je gicle en lui, je l'entends gémir.
Il est de nouveau dur, veut m'enculer mais plus le temps.

On se donne rendez-vous pour l'après-midi. Il fait si chaud... Vers 18h, on se retrouve. Ma femme est partie faire des courses. Il enfile une capote, je mets un peu de gel et il m'enfile. Sa queue est grosse. Au début, c'est assez soft, il se cale au fond de moi et se contente de bouger un peu mais peu de temps après, il commence à me saillir fort. Je le sens jouir en moi. A peine sorti, il me retourne, s'agenouille devant moi et me suce lentement. Il me fait éjaculer sur son visage. Quand il se relève, il a encore la capote et elle est vraiment bien pleine de jus.

tres excitant et mme se doute de rien.

Non. Je suis très actif avec elle !

Par la suite, j'ai été muté en région Parisienne, bien décidé à contrôler mes pulsions... Loupé. J'ai découvert le ciné porno de la gare du nord, au début, ce n'était qu'attouchements et fellations. J'y ai assisté à des scènes torrides comme cet homme mince simplement 'vêtu' de bas résille et qui se faisait saillir à cru par plusieurs partenaires ; j'ai pu résister ce jour là à l'envie sauvage de le baiser moi aussi. Son anus ressemblait à une vulve : gonflé, ouvert et dégoulinant de foutre. Un jour j'y ai rencontré deux hommes mûrs : Laurent et Alain. Les deux avaient la cinquantaine. On a commencé à se chauffer dans la salle puis sur demande de Laurent, nous avons filé dans une cabine individuelle. Laurent et Alain étaient deux hommes minces, sportifs, bruns de peau. Laurent était européen, Alain était en fait Ali, il avait changé de prénom lorsqu'il était devenu français. Alain/Ali était marocain, un sexe énorme, presque noir. On s'est retrouvés dans cette cabine, très à l'étroit ; Ali portait une petite culotte transparente qui moulait sa grosse bite. Assurément actif, il m'a mis sa queue dans la bouche et une fois dur, m'a dit qu'il avait envie de m'enculer. J'en avais envie mais je tremblais à l'idée de ce braquemard dans mes entrailles. Mais il a été doux, habile et finalement, une dizaine de minutes plus tard, je me retrouvais empalé sur la grosse queue jusqu'à la garde, la queue de Laurent dans la bouche. Ils ont alterné les rôles, l'un me prenant à la suite de l'autre, avant de se vider dans ma bouche. Ce soir là, j'avais le cul explosé mais quelle satisfaction ! Madame a fait les frais de mon entrain, je lui ai à mon tour pété le cul, m'activant en elle. Après avoir eu un gros orgasme par l'anus, elle m'a dit : quel dommage que tu ne puisses pas connaître ça !

J'ai eu quelques expériences sympas sur Paris. A l'époque, pour ceux qui connaissent, il y avait du côté de la porte de la Villette une friche le long d'un canal. Depuis ils ont fait un centre commercial mais avant c'était un lieu de rencontre. J'allais faire mon sport le long du canal en question et ensuite, je profitais un peu de ce lieu de rencontre. J'y ai sucé une superbe bite noire, un jeu sénégalais qui étudiait en France. Une superbe tige très raide. En plus, le mec était vraiment sympa, ça a été un moment vraiment convivial. Il n'osait pas m'aborder, je regardais son pantalon de toile tendu comme le chapiteau du cirque Gruss. Il était si timide que j'ai du prendre toutes les initiatives, y compris celle d'extirper son engin de son pantalon...
Une autre fois, j'ai rencontré un homme d'une cinquantaine d'année, on se masturbait mutuellement dans un coin tranquille. Un mec est arrivé, je pense qu'il était hindou ou pakistanais. Il s'est mis derrière moi. Je portais un bermuda de running moulant en lycra. Il a tripatouillé un peu son pantalon et d'un coup, m'a collé son gros dard contre les fesses. Il s'est mis à se frotter puis sans me demander mon avis, a baissé mon pantalon. Je n'ai pas vu le sexe qu'il a coincé entre mes fesses mais c'était vraiment gros, très large, pas forcément long car même en poussant fort, il effleurait à peine mon anus mais dur comme le roc. Je pense que le mec qui me masturbait a pensé que j'étais en train de me faire enculer car il m'a fait me pencher un peu en avant, l'autre derrière arrivait juste à tamponner mon anus avec son gland mais j'étais si excité que j'avais tendance à me dilater et à m'ouvrir. Finalement, il s'est mis à genoux et m'a sucé en accompagnant les mouvements de l'autre derrière. J'ai couiné quand celui de derrière a déchargé dans ma raie culière et du coup j'ai déchargé à mon tour dans la bouche de mon suceur. Mon indo-pakistanais ayant filé à la vitesse de l'éclair, le mec que je masturbais est venu derrière moi, s'est accroupi et m'a offert un léchage dans les règles de l'art tout en me remettant en forme. Il a ensuite enfilé un préservatif puis s'est introduit en moi, le pakistanais, bien qu'il ne m'avait pas pénétré m'avait passablement excité et il n'a donc eu aucune résistance pour me remplir à son tour et me limer consciencieusement.
Je lui ai proposé une finition buccale mais il m'a répondu qu'il s'éclatait dans mon cul... Donc...
Enfin dans ce même lieu, je suis tombé un jour sur un couple. C'était peu avant que commence la construction, il y avait des monticules de terre un peu partout, autant de cachettes. Un mec m'a abordé, impossible de lui donner un âge mais environ la soixantaine, bien conservé. Quand j'ai commencé à le caresser, il m'a demandé si ça me dérangeait que madame assiste à la scène. Et j'ai répondu que non. Sa femme était plus jeune que lui, très très mince, limite maigre. Plate, cheveux courts, menton carré. J'ai pensé avoir à faire à un mec mais non, c'était bien une femme. Elle s'est assise sur un bloc de béton et a regardé son mari se faire sucer. Elle ne m'a pas touché, elle a juste levé sa jupe et s'est mise à se caresser devant nous. Chatte rasée intégralement et des lèvres énormes. Son mari m'a demandé s'il pouvait m'enculer. Il m'a longuement préparé puis a enfilé une capote et en avant ! Sa femme a alors changé de rythme, ce n'était plus de douces caresses pour se masturber, c'était les grandes manoeuvres, j'ai cru qu'elle allait s'arracher les lèvres à force de les tirer et les tordre dans tous les sens. Il a joui et elle dans la foulée. Ils sont partis sans un merci. Un mec qui assistait à la scène m'a dit qu'habituellement, c'est lui qui se faisait tringler pendant qu'elle se prenait exclusivement des arabes et des blacks.