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J'ai sauté le pas !

Envoyé par RoxyBiteAddict 
J'ai sauté le pas !
Sunday 4 May 2025 14:44

RoxyBiteAddict
Homme Bi, 45 ans, France, Lorraine
Je ne sais pas exactement quand cette envie a commencé à prendre racine en moi. Peut-être que c’était là depuis toujours, enfouie sous les couches de normalité, de devoirs, de rôles que j’endosse chaque jour. Mari, collègue, homme respectable. Mais dans l’ombre, il y avait autre chose. Un besoin sourd, presque animal. Celui de m'abandonner, de devenir quelqu’un d’autre. Quelqu’une d’autre.

Quand ma femme est partie pour le week-end chez sa sœur, j’ai su que c’était maintenant ou jamais. Le cœur battant, j’ai ressorti la mallette cachée au fond du placard du garage. Dedans : bas résille, culotte fine, jupe moulante, perruque, maquillage… Chaque pièce avait son parfum de clandestinité et d’excitation. Une fois habillé, maquillé, transformé, ce n’était plus moi dans le miroir. C’était elle. Ma part cachée. Ma petite chienne.

J’avais pris mon courage à deux mains pour écrire à cet homme. Il s’appelait Marc. Cinquante-cinq ans, regard dur, mots tranchants. Il savait ce qu’il voulait, et ce soir, c’était moi.

L’hôtel était à l’écart, un de ceux où personne ne pose de questions. J’y suis entrée d’un pas hésitant, mon cœur cognait fort sous la dentelle de mon soutien-gorge. Quand il a ouvert la porte de la chambre, il m’a regardée sans un mot, m’a fait un signe. J’ai obéi, comme si mon corps savait déjà ce qu’il devait faire.

Il m’a parlé doucement au début, presque tendrement, mais dans ses yeux, il y avait autre chose. Une autorité froide. Une promesse de domination. J’étais là pour ça. Pour céder. Pour découvrir ce que ça faisait de ne plus être en contrôle. De devenir son jouet. Il m’a ordonné de me mettre à genoux. Et j’ai obéi, tremblant d’un mélange de peur et de désir.

Je sentais mon rouge à lèvres un peu bavé quand je me suis mis à genoux devant lui. Il m’a regardé comme on regarde un objet qu’on a hâte d’utiliser. Il n’a rien dit. Il a simplement ouvert sa braguette. Son sexe est apparu, lourd, veiné, fièrement dressé. J’ai senti un vertige, un mélange d’appréhension et d’excitation brute. C’était vrai, c’était là, j’étais allé trop loin pour reculer.

Je l’ai pris dans ma bouche, lentement d’abord. Il était épais, et je devais forcer un peu ma gorge, les larmes me montaient aux yeux, mais il adorait ça. Il m’attrapait par les cheveux, m’imposait son rythme, me faisait baver comme une vraie traînée. Il grognait parfois, ou me traitait de "bonne suceuse", de "chienne bien dressée". Et moi, j’en avais honte et jouissance à la fois. Plus il me poussait, plus je voulais lui montrer que je pouvais le satisfaire. Que j’étais faite pour ça.

Quand il a fini par me repousser, ses yeux brûlaient. Il m’a fait me lever, me retourner, et m’a plaqué contre le lit. J’ai senti ses mains écarter mes fesses, sa salive, puis la pression de son gland contre mon anus. Il ne m’a pas demandé. Il est juste entré. D’un coup sec. J’ai crié — de douleur, de surprise, d’abandon. Il était en moi, profondément, violemment. Et j’aimais ça.

Il m’a prise longtemps. Fort. Brutalement. Me tenant par les hanches, me claquant parfois, me parlant salement à l’oreille. Et moi, à chaque va-et-vient, je sombrais un peu plus dans cette part de moi que je m’étais toujours interdit. Ce n’était pas seulement du sexe, c’était une libération. Une révélation.

Après m’avoir possédé comme une bête, il m’a tiré par les cheveux, me forçant à me remettre à genoux devant lui. Son sexe, encore dur, battait devant mes lèvres rougies et gonflées. Il n’a rien dit. Il a simplement tenu ma tête et m’a glissé sa queue dans la bouche, profondément. Je savais ce qu’il voulait. Et moi, j’en avais autant besoin que lui.

Je l’ai sucé avec application, en faisant claquer ma langue, en le regardant droit dans les yeux. Il gémissait, ses mains enfoncées dans ma perruque. Son bassin frappait mon visage à chaque poussée, et je m’abandonnais complètement, dans ce rôle de chienne offerte, docile, affamée.

Et puis, soudain, il s’est tendu. Un râle profond est sorti de sa gorge. Il a enfoncé sa queue jusqu’au fond de ma gorge et a joui. Fort. Par saccades. J’ai tout pris. Le goût, la chaleur, l’humiliation délicieuse d’être rempli par lui. Je n’ai pas bronché. J’ai avalé chaque goutte, sans en laisser passer une. Et quand il s’est retiré, luisant encore de salive et de foutre, je l’ai léché doucement, soigneusement, jusqu’à ce qu’il soit parfaitement propre. Pas une trace. Pas une goutte sur le lit. Rien. Comme une vraie petite esclave bien dressée.

Quand je me suis relevé, les jambes tremblantes, le cœur battant la chamade, je n’étais plus tout à fait le même. Ce que j’avais fait ce soir-là resterait gravé en moi. Et je savais, au plus profond de mon être, que ce n’était que le début.
Re: J'ai sauté le pas !
Sunday 4 May 2025 15:32

seulex
Homme, 66 ans, France, Aquitaine
wahoooo!!!!!
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