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Ma femme et notre amant commun

Envoyé par Felipe 
Ma femme et notre amant commun
Monday 31 July 2023 13:25

Felipe
Homme, 52 ans, France, Île-de-France
C’était il y a environ 10 ans. Nous nous sommes retrouvés mutés dans une petite ville de province, nous sommes fonctionnaires, elle dans le milieu hospitalier, moi dans la territoriale.

Durant quelques mois, ce fut l’effervescence, nouvelle maison, nouvelles habitudes, nouveaux collègues… Puis le calme revint. C’est à cette époque que j’ai noté certains changements dans les habitudes de ma femme : alors soyons clairs, elle n’a jamais été négligée mais là, je me suis posé certaines questions. Epilation soignée (alors qu’en hiver, elle avait un peu tendance à espacer), passages plus fréquents chez l’esthéticienne ; elle m’a expliqué alors que les douches du personnel étaient ‘ouvertes’ et que par rapport aux autres filles (elle est infirmière), elle ne voulait pas paraitre négligée. Comme ces changements ne s’accompagnaient d’aucune baisse de son entrain sur le plan sexuel (elle en voulait même de plus en plus et se montrait particulièrement inventive au lit), je me suis dit que c’était un bienfait de cette nouvelle vie.



De mon côté, j’avais passé une petite annonce sur un site gratuit indiquant que je recherchais un complice avec lequel partager en direct des photos de mon épouse. Un visionnage coquin dont j’avais déjà fait l’expérience. Je disposais de nombreuses photos sur clé USB et à l’époque, je les avais soigneusement retouché pour éliminer tout signe distinctif : grains de beauté, tatouage, bijoux… Et bien entendu , visage flouté… Heureusement !



J’ai eu quelques réponses. Certains étaient trop éloignés, d’autres voulaient faire ça de façon virtuelle. Au milieu des réponses éligibles, une se détachait. Anthony était un quinquagénaire. Originaire de la Guadeloupe il m’a répondu en m’indiquant qu’il n’était pas gay mais très bissex et habitué à ce genre de plans. Anthony pouvait me recevoir, disposait de tout le matériel nécessaire à une bonne séance de visionnage et surtout était visiblement très bien outillé puisque la photo jointe, bien qu’elle soit relativement soft, montrait que sa queue semblait plutôt à l’étroit dans son boxer.



Nous nous sommes rencontrés dans un bar et ça a accroché de suite. Il avait 10 ans de plus que moi, physique sportif, sympa. Il m’a indiqué qu’il était divorcé et bossait à l’hôpital comme infirmier… Intérieurement, j’ai eu un petit coup d’adrénaline : il était potentiellement un collègue de ma femme…

Quand j’ai parlé d’elle, j’ai donc un peu trafiqué la vérité : elle était fonctionnaire dans une mairie et plus infirmière, nous avions deux @#$%& et non trois, nous vivions en appartement, dans un quartier à l’opposé de celui de notre maison et je travaillais dans les ressources humaines. Pour finir, je lui rajoute deux ans de plus que son âge réel.

Nous avons donc échangé nos téléphones et avons convenu de nous retrouver quelques jours plus tard.

Le jour J, j’arrivais donc chez Anthony. Appartement pas très grand mais lumineux, agréable. Il me reçoit en peignoir de satin. Nous buvons un verre, pas d’alcool mais ça détend vraiment l’atmosphère. Puis nous passons aux choses sérieuses, j’introduis la clé USB, j’ouvre le dossier et je commence à faire défiler les photos… Il ne fait pas semblant d’être excité, très rapidement, il bande et c’est d’autant plus visible qu’il est nu. Il pose ma main sur le gourdin qui émerge entre les pans de satin. Sa queue est indéniablement un bel engin. Longue, épaisse, un gland très noir. Il me caresse de son côté et nous jouissons une première fois. Il balance des jets puissants qui éclaboussent ma main et le peignoir de satin.

Il m’offre un café, visiblement, ce n’est pas fini.

- Elle est vraiment bonne ta femme, elle me fait un peu penser à une de mes collègues.

Un frisson me traverse, je joue l’innocence.

- Ah bon ?

- Oui, une nana mariée, dans la même tranche d’âge que ta femme, elle est arrivée il y a quelques mois.

- J’avais entendu dire que le milieu hospitalier était chaud mais là ! Tu as pu la voir en petite tenue pour la comparer à ma femme ?

- Mieux que ça !

Il me montre sa queue et me dit :

- Une de plus qui a craqué !

J’accuse le coup. Parle-t-il bien d’elle ?

- Un petit coup dans la salle de repos ?

- Mieux que ça ! On a baisé plusieurs fois dans les chambres réservées aux infirmières.

Je remarque que ça le fait bander, je lui dit et lui propose qu’il me raconte plus de détails pendant que je m’occupe de lui. C’est à genoux entre ses jambes ouvertes, son chibre dans la bouche que j’apprends alors qu’il a fait des avances à ma femme, qu’elle a d’abord refusé puis s’est finalement laissée aller à une petite gâterie mutuelle.

- Elle m’a dit ok, je te branle. Mais quand elle a vu ma bite bien bandée, elle m’a demandé si je voulais qu’elle me suçe. Tu m’étonnes que je voulais ! Quelle salope, elle me bouffait la queue et finalement, j’ai eu beau lui dire que ça allait gicler, elle a continué. Je pensais qu’elle allait cracher mais elle n’a pas laissé une goutte ! Ensuite, je lui ai dit que je voulais lui rendre la politesse, je voulais qu’elle prenne son pied elle aussi.

- Elle a protesté ?

- Au début, elle ne voulait pas. J’ai mis ma main dans sa culotte et elle était toute mouillée. J’ai insisté pour pas la laisser comme ça et finalement, elle s’est laissée faire. Une vraie fontaine !

Je ne dis rien mais je n’en pense pas moins. S’il restait un dernier doute, il vient d’être levé. Ma femme mouille beaucoup, même au ‘repos’, sa chatte est toujours humide et un effleurement de téton ou quelques mots cochons dans le creux de l’oreille suffisent à déclencher les grandes eaux !

- Elle a joui ?

- Comme une vraie chienne. Elle a dû mordre sa blouse pour ne pas ameuter l’étage !

- Et rien de plus ?

Entre deux phrases, je continue à sucer le gros bâton de réglisse d’Anthony. Par moment, il me retient un peu.

- Le lendemain, j’ai eu droit au truc habituel : elle avait eu un moment de faiblesse mais ça n’allait pas se reproduire, elle était mariée, avait des @#$%& et ça se passait bien dans son couple.

Immense sentiment d’auto-satisfaction.

- Mais deux jours plus tard, on recommençait. Cette fois, j’ai commencé. Et ensuite, c’est elle qui m’a sucé. Mais quand j’ai été bien dur, elle m’a enfilé une capote. Elle a fait ça avec la bouche, en me regardant dans les yeux.

- Tu l’as baisée ?

La réponse est oui. D’abord par devant, elle assise sur une table et lui debout, la fourrant sans vergogne. Puis dans la position du missionnaire en lui insérant son chibre au plus profond de ses entrailles puis par derrière, les mains crochetées dans ses hanches. Et elle a jouit en plus. Un gros orgasme. Lui, il a rempli la capote !

- Et tu connais la meilleure ? Quand elle a retiré la capote, elle a léché ma queue, j’étais tout propre.



Et c’est à ce moment-là qu’il se répand dans ma bouche. C’est abondant et il prend son pied. Il m’explique ensuite que ma bouche, raconter ce qu’il a vécu en visionnant le cul de ma femme, ça l’a vraiment boosté.



On se sépare, je rentre et le soir, je baise ma femme. Je ne peux m’empêcher de la voir suçant cette queue que j’ai moi-même sucé, la bouche aussi pleine que l’a été la mienne. Je lèche sa chatte longuement, en essayant de voir d’éventuelles traces du passage du chibre noir, bien plus gros que ce que je peux lui offrir.



La seconde rencontre a lieu quelques jours plus tard. On attaque direct sur ma femme, dont il ignore qu’elle est ma femme. Il se remémore les séances de baise suivantes, toujours durant les gardes de nuit. Pour cette deuxième rencontre, il porte un boxer transparent rouge. Je suis à genoux entre ses cuisses, je caresse et lèche le gros dard qui a donné tant de plaisir à ma femme. J’écoute Anthony me raconter comment elle aussi lui avait montré ses dessous coquins, petite culotte ouverte, d’autres transparentes (autant de petites choses coquines que je lui avais offert et dont j’étais persuadé d’être le seul à profiter) et un jour même, pas de culotte du tout. J’enroule ma langue autour du gros gland noir. Il me raconte comment elle aimait se faire sucer les tétons (elle adore) et tirer très fort des lèvres intimes. Il me raconte la nuit où ils ont baisé 4 fois sur toute la séance de garde.

- Elle avait juste sa blouse et ses sabots, en dessous, rien, ni soutif, ni culotte. On a baisé dans la salle de repos, dans une chambre, dans une salle d’examen.

Il me raconte comment il l’a limée durant un long moment alors qu’elle était sur une table gynécologique, les pieds dans les étriers, cuisses bien ouvertes.

- Sa chatte faisait un bruit de succion tellement elle était mouillée.

Je lui suce désormais la queue, du gland à la base, je l’avale lentement.

- Cette nuit-là, j’ai le préservatif qui a pété. On a baisé comme ça pendant quelques minutes avant de nous rendre compte qu’il y avait un truc différent. Elle m’a fini entre ses seins en mode branlette espagnole.

Je ne peux pas lui en offrir autant. Sur l’écran, il regarde les seins de ma femme, généreux et m’annonce que sa queue serait également bien au chaud entre ceux-là.

Je lui malaxe les couilles tout en le suçant. Il jouit dans ma bouche. Au début il était convenu que c’était à sens unique. Anthony me caressait mais rien de plus. Ce jour-là, il commence à me caresser puis sa bouche me gobe et il me suce. Il se retire au moment où j’éjacule en m’affirmant :

- Elle te fait bander ma collègues !

Si il savait…



Troisième rencontre. Il me reçoit uniquement vêtu d’un short en satin sous lequel il présente un début d’érection. Cette fois, on passe au lit. Il attaque fort, se remémorant la capote craquée.

- C’était bon de sentir sa chatte pour la première fois…

Le ‘première fois’ m’intrigue…

- Tu l’as baisée sans ?

- C’est elle qui a voulu. Tu sais, on se fait tester régulièrement contre à peu prés tout…

- Et c’était comment ?

C’était bon. Elle l’a sucé puis s’est assise sur sa bouche pour se faire brouter le minou et est allée ensuite s’empaler directement sur le gros braquemard de son amant sans vraiment lui demander son avis. Tout prend une autre dimension pour moi. Qu’elle se soit faite baiser était déjà excitant. Qu’elle se soit faite baiser à cru est bien au-delà de l’excitation, c’est un nirvana mental qui m’envahit, j’imagine la queue que je suis en train de faire coulisser entre mes lèvres s’introduire au plus profond du con trempé de ma femme. J’ai comme une envie de pareil, je ne sais pas si Anthony s’en aperçoit mais sa main malaxe mes fesses pendant que je le pompe.

- Elle aimait ça que je la ramone bien fort, on sentait tout, la chaleur, la moiteur.

- Pas peur de la mettre enceinte ?

- Oh tu sais, elle m’a dit que je pouvais y aller, qu’elle prenait la pillule.

Je retire son membre de ma bouche pour lui demander :

- Elle t’a laissée venir en elle ?

- Oui, c’était trop fort et en plus elle jouit quand elle se sent foutrée.

Je suis choqué. Pas dans le mauvais sens. J’ai la queue tendue. Je pense à cette chatte que j’ai léché, que j’ai baisé. Il y restait certainement des traces de son amant, de cette queue que je suis en train d’avaler. J’imagine ma salope se faire remplir. Je sais qu’elle aime ça, que ça la fait démarrer au quart de tour. Il suffit qu’elle sente mon jus arroser ses muqueuses et elle décolle. J’imagine le gros chibre d’Anthony se vidant en elle, ses éjaculations sont puissantes, abondantes. J’imagine sa chatte dilatée, ouverte, dégoulinante de semence. Je l’imagine se nettoyant après leurs séances, essayant d’absorber le jus de son amant. Je me souviens de ces matins où elle me rejoignait au lit après une garde de nuit, sa chatte si humide, presque poisseuse et son cul si facilement accessible… Son cul. Et son cul d’ailleurs ?

En parlant de cul, Anthony fouille le mien. Je lui demande s’il a envie ? Il ne répond pas, me met sur le ventre. Enfile une capote, me balance une bonne dose de lubrifiant.

Il se place derrière moi. Son gland sur mon œillet. Prêt à m’envahir.

- Tu lui baisais le cul aussi ?

- Au début non. Mais un jour j’ai tenté le coup et elle était assez open !

Tu m’étonnes qu’elle était open ! Je baise le cul de ma femme depuis nos premiers rapports et il m’est arrivé de douter quant à savoir si j’étais dans sa chatte ou son cul. Ma femme aime le cul, elle jouit du cul même.

Quant à moi, j’ai le chibre noir qui se fraye un passage dans mes entrailles. Rien de vraiment difficile car j’en ai une énorme envie. Je suis à égalité avec ma femme, je sens en moi le chibre qu’elle a senti. Et il est quand même gros le salaud. Elle est plus habituée que moi, mais n’empêche. Je comprends qu’elle ait aimé.

- Et donc ?

- Je l’ai baisée comme je vais te baiser.

Et il entame un va et vient lent… Il coulisse dans mon cul. Me complimente :

- Ton cul est bien ouvert, tu aimes ma bite.

Je lui réponds que sa bite est bonne, qu’il me baise bien. Je lui demande d’aller plus profond, plus fort. Il me dit qu’elle aussi prononçait ces mots, qu’elle lui demandait de lui démonter le cul, de l’exploser. J’ai un orgasme, au moment où il se projette en moi, un long jet de foutre gicle de ma queue. Puis un second…

- Elle aussi elle me balançait des jets en jouissant quand je lui baisais le cul.

Pas avec moi. Pourtant je lui démonte fort. Plus d’une fois elle s’est levée le matin avec ‘bobo au cucul’ comme elle le dit. Les seules fois ou elle m’a craché son jus au visage, c’est à l’occasion de séances de bouffage de chatte. Anthony continue à me baiser le cul. Ses mains crochetées dans mes hanches, son pubis qui claque contre mes fesses, sa queue qui laboure mes reins. Je sens parfois ses couilles claquer contre les miennes. Dans un ultime coup de reins, il se projette en moi. Je sens les pulsations de sa queues en moi. Je regrette de ne pas pouvoir sentir la chaleur de son jus en moi. Je suis un peu jaloux car elle, elle y a eu droit. Sur l’écran du portable, le cul ouvert de ma femme. Anthony me dit :

- Je m’imaginais en train de baiser le cul de ta femelle…



Nos rencontres se sont poursuivies pendant presque un an. Avec une très grande intimité. D’autant plus grande que je partageais cette queue superbe avec mon épouse. Je le savais, elle non. J’en ai un peu joué. Quand elle était de nuit, je rentrais plus tôt et je la baisais, pas toujours par envie mais je voulais la préparer pour les assauts de son amant. Je lui limais le cul lentement, elle me demandait juste de ne pas éjaculer en elle ‘ça risque de couler pendant que je suis en service’. J’ai aussi eu l’occasion de la baiser au petit matin, directement à son retour… Elle a prétexté l’envie d’un bain avant, je lui répliquais qu’elle venait de se doucher. J’ai senti le foutre de son amant dans son vagin, dans son cul. J’ai joui en elle, lui en remettant ‘une deuxième couche’. Je pense qu’elle a senti que je savais mais n’a jamais rien dit et de temps en temps, c’est elle qui est venue directement en rentrant. Elle m’offrait d’elle-même l’orifice déjà souillé et jouissait très fort. Moi aussi j’ai fini par être souillé par Anthony.



Anthony a pu retourner en Guadeloupe à la faveur d’une mutation. De notre côté, nous sommes restés quelques années dans cette ville. Ma femme m’a avoué son aventure extra-conjugale en la minimisant et en l’édulcorant. Son amant et elle n’avaient eu que des rapports oraux, elle m’a affirmé qu’il était blanc, pas super bien monté et que c’était surtout un truc pour évacuer le stress du boulot…
Re: Ma femme et notre amant commun
Monday 31 July 2023 17:01

seulex
Homme, 64 ans, France, Aquitaine
superbe histoire
il n y en a pas eu d autres ?
Re: Ma femme et notre amant commun
Monday 31 July 2023 19:26

dvd22
Travesti, 72 ans, France, Bretagne
Hummm superbe, j'ai connu cela mais je savais elle elle savait aussi
Re: Ma femme et notre amant commun
Tuesday 1 August 2023 16:53

Felipe
Homme, 52 ans, France, Île-de-France
Non, ce fut la seule fois. J'ai été assez amusé de sa volonté de minimiser les choses alors qu'elle avait offert tout ses trous à son amant et qu'il la défonçait sans vergogne. Une fois, je lui ai demandé s'il me baisait aussi fort que sa collègue. Là il s'est mis à me défoncer fort, bien plus fort que d'habitude. Il s'est arrêté et m'a dit : avec elle, c'est comme ça. Franchement, je ne pouvais pas tenir ce rythme là !

Je pense qu'elle a deviné que je me doutais de la présence d'un amant mais n'a jamais rien montré



Modifié 1 fois. Dernière modification le 01/08/23 16:54 par Felipe.
Homme, 48 ans, France, Provence-Alpes-Côte d'Azur
super histoire, très excitante !
Re: Ma femme et notre amant commun
Saturday 20 January 2024 08:45

mariefil
Homme, 69 ans, France, Rhône-Alpes
A lire et relire sans modération.ON adore .Bises xxx
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