Etangs D'aligné - Rennes

Etangs d’apigné Rennes: petite balade sur ce lieu bien connu des Rennais. Je me promène le long des sentiers ombragés, pris entre la chaleur estivale et l’excitation qui me gagne de découvrir ce lieu. Je me perdrais presque dans le dédale des chemins qui s’offrent à moi et je ne sais où aller. Je m’enfonce dans la forêt ne sachant pas si je suis sur le lieu destiné aux plaisirs entre hommes. Face un moi, un homme nu remonte le sentier, sexe poilu et décalotté… L’homme n’est pas particulièrement charmant mais mon regard s’attarde sur son sexe à la pilosité garni. J’en rougirais presque. Je lui dis bonjour en le croisant, il ne me répond pas, il faut peut être se montrer distant sur ces lieux, ça fait peut être parti du jeu de séduction d’être froid, je n’ai pas tous ces codes. Je continue mon chemin, 5 minutes de marche, sans croiser personne mais je sais maintenant que je suis sur le bon lieu, preuve en est les emballages de préservatifs qui jonchent le sol, triste dépotoir d’une certaine misère sexuelle comme la mienne. Personne en vue, je pense faire demi-tour en sortant du bois. Mais là, sur le bord du champ, un homme nu est allongé sur les herbes couchées. Furtivement, je jette un oeil sur son corps alors qu’il ne me regarde pas, son sexe est épais et cette vision fait durcir mon entre-jambe moulé dans mon jean. Il lève la tête et je lui dis bonjour, alors que je m’étais juré de jouer le type froid et distant. Je suis très gêné de me savoir ainsi vêtu et de le voir ainsi, lui, beau dans sa nudité d’homme. J’aimerais m’allonger à côté de lui, et poser ma tête sur son abdomen, proche de son sexe. Mais jamais je ne serai capable de ça. L’insolence des mecs qui vivent pleinement leur sexualité, je l' envie. Moi, j’ai simplement peur. Je suis troublé, alors je m’enfuis en poursuivant ma route sur le bord du champ. Je sens son regard dans mon dos qui me brûle de désir. Je rentre à nouveau dans une partie du bois et quand je me sais à l’abri du feuillage, je me retourne pour mieux contempler ce à quoi je renonce. Il regarde toujours dans ma direction mais il ne peut me voir. Le désir me fait mal au ventre. Je poursuit mon chemin à la découverte de ce lieu. Les chemins deviennent étroits et plein de ronces. Je me perds dans ce labyrinthe, j’ai surtout peur de tomber dans un cul de sac, et de tomber sur un mec qui me toucherait sans que je sois consentant. Mais là, le chemin s’élargit un peu. A ma gauche, alors que je passe, un homme se tient debout, nu, les bras le long du corps. Je suis surpris par sa présence là, derrière une sorte de barrière délimitant un petit carré herbeux. Il me dit bonjour, je lui réponds poliment en tâchant de dissimuler mon embarras. Je n’ai pas eu le temps de voir son sexe, mais cet homme me sourit. Je remarque son bronzage intégral, aucune trace de vêtements sur sa peau déjà bien bronzée. Un autre homme est là et se promène comme moi, je devine sa présence entre le feuillage. Je continue ma route en accélérant le pas, j’espère retrouver le chemin de mon errance. La forêt se termine et j’arrive à nouveau dans un champ. Un homme fort semble regarder à l’opposé du champ. Je suis la direction de son regard en me disant que ma voiture est de toute façon dans cette direction. Alors que je remontre le champ qui borde la forêt, de petites alcôves se découvrent. Dans l’une d’elle, deux hommes nus sont allongés et semblent profiter des rayons du soleil. Ils me toisent à mon passage, je décoche un bonjour en passant. L’un des deux se met debout, un bijou de sexe métallique vient placer ses testicules très en avant. L’autre homme couché en chien de fusil remonte une jambe, ce qui le place dans une position très sexuelle, ouvert et disposé. Mais sur le moment, je n’ai pas cette interprétation, et de toute façon, ils ne m’attirent pas particulièrement même si j’envie leur audace. L’homme nu des herbes de tout à l’heure a laissé des traces. Mon jean est mouillé à la hauteur de mon gland. J’ai toujours beaucoup de précum quand je suis sexuellement excité. Je continue à remonter mais tout à coup, alors que le chemin se rétrécit, un homme aux cheveux longs est assis en travers du chemin et bloque mon passage. Je m’arrête à distance en me demandant s’il faut rebrousser chemin. Non, je n’oserai pas passer une deuxième fois devant ces hommes,. L’homme aux cheveux longs regarde quelque chose dans les buissons que je ne peux pas voir de là où je suis. Tant pis, je vais le déranger car je ne me vois pas passer une deuxième fois devant ces hommes nus de tout à l’heure. Quand je m’approche, il se met debout et son short est déformé par son sexe sans doute gorgé de plaisir. Je vois alors deux hommes dans les fourrés, l’un à genoux, nu et s’appliquant à gober le sexe d’un autre homme debout, nu également. Son sexe disparait entièrement dans sa bouche. Les mouvements sont brutaux et directifs. J’aimerais resté ici et regarder ces deux hommes prendre du plaisir. La présence du 3 ème homme aux cheveux longs ne semble pas les gêner. J’ai envie de rester, de sortir mon sexe et de me masturber à distance car le désir est à son paroxysme. Je regarde leur visage déformé par le plaisir. Je regarde ce sexe qui disparait dans la bouche de l’homme à genou qui semble parfois étouffer: les 2 mains de l’autre sont plaqués sur son arrière crâne et le maintienne sur son sexe. Alors que je me décide à sortir mon pénis, l’homme aux cheveux longs vient vers moi, je déguerpis. Je n’ai pas envie qu’il me touche, trop peur qu’il me transmettre une cochonnerie. Je crois que c’est surtout ça qui me fait peur. Ici, je n’ai pas encore vu la trace d’un préservatif, à part sur le sol. Je tente de retrouver un sentier que j’ai déjà emprunté mais j’ai du mal à me repérer. J’entends alors des éclats de voix et je m’arrête pour les écouter comme tétanisé. Je me rends compte qu’il ne s’agit pas de cris, mais de râles de plaisir. J’entends aussi comme des claques. Après des hésitations, je me guide aux sons des voix. Finalement, je me retrouve dans le sentier qui mène à la barrière. L’homme nu de tout à l’heure est en train de pénétrer un homme qui se tient à la barrière et qui gémit. Il y va de toute sa virilité, en lui claquant les fesses. L’autre homme me regarde et gémit. Il implore son compagnon de l’instant en me regardant. La tension sexuelle est telle que mon sexe me fait maintenant mal à force de ne pouvoir libérer sa semence. Je prends la décision de rentrer en me disant qu’il faut que je masturbe au plus vite. Je cache avec mon tee-shirt la tâche qui s’est formée à hauteur de ma braguette. Je regagne le bois et je marche, triste bilan de ce moment: heureux d’avoir vu des sexes d’homme, au naturel, tendus, en action… triste de ne pas réussir à me laisser aller… et à constater que l’amour protégé comme je le souhaiterais ne semble pas être de rigueur. Alors que je fais ce triste constat, le bel homme de tout à l’heure déboule d’un sentier derrière moi et me suis. Je suis tétanisé, je l’entends derrière moi mais n’ose pas me retourner. Je fais semblant de prendre mon temps. Il est là, sur mes pas. Je sens son parfum à côté de moi. Il m’enivre. Il est un peu plus jeune que moi, il s’arrête à distance et plonge son regard noir dans le mien. Je sais qu’il veut que je le suive. Je le regarde droit dans les yeux… Oui, j’ai envie de me retrouver nu contre toi. Oui, j’ai envie de prendre ton sexe dans ma bouche. Oui, j’ai envie de te voir jouir. . Oui, j’ai envie de t’embrasser. Oui, tu me plais. Et je vois que je te plais. Mais il ne se passera rien… parce qu’après cet échange de regards, j’ai continué ma route. Trop peureux de m’engager dans quelque chose que je ne maitriserai pas, trop peureux de demander à utiliser une capote, trop honteux d’avoir le sexe à ce point excité, trop honteux d’avoir si peu d’expériences avec un homme… Je me suis masturbé en pensant à toi, ce n’est pas très glorieux, mais tu étais dans mes pensées.

Recit tres excitant merci
Il faut savoir se lacher