Tout dépend ce qu'on appelle 'première'. Je me souviens d'une expérience très hard mais sans contact avec un homme qui devait avoir plus du double de mon âge. Entre la fin de mes études en juin et mon incorporation sous les drapeaux en octobre, je suis allé bosser quelques mois en Espagne. Je faisais des petits boulots : serveur, chauffeur, homme à tout faire dans un camping en Espagne. J'avais un collègue qui ne faisait que l'entretien, c'était un tunisien, Ali. Parfois je lui filais un coup de main quand il y avait pas mal de boulot. On déjeunait ensemble. C'était un gars super sympa, père de famille, marié mais obsédé par tout ce qui avait une paire de seins et qui passait à proximité de lui. Durant mon séjour, celle qui était ma copine et qui est aujourd'hui ma femme est venue passée une semaine avec moi. Le patron du camping m'avait arrangé au niveau horaire et je bossais de 6h à 14h. Le reste du temps, j'étais libre. Bien entendu, je logeais dans le camping et donc, j'avais eu l'occasion de voir Ali et de faire les présentation. Il avait louché sur ses petits seins pointus (elle ne portait pas de soutif en vacances) et son petit cul moulé dans un short ultra court... Quand elle était repartie, il m'avait demandé quelques détails plus intimes et disons que j'avais lâché quelques infos, histoire de le faire saliver. Et puis un jour, dans le vestiaire qui servait aussi de salle de repos, il me demande :
- Tu as des photos d'elle à poil ?
J'en avais. A l'époque, pas de téléphone, pas de tablette... Donc j'avais mon petit album et une vingtaine de photos d'elle plus ou moins chaudes.
- Oui, j'ai ça
- Tu veux pas me les montrer ? Je fais juste que regarder, je touche pas !
Au début, je ne voulais pas mais voilà qu'un jour, Ali me tend une photo. Dessus une femme, la quarantaine mais bien bandante. Elle n'est pas nue, mais la robe est ouverte et elle écarte bien sa chatte poilue en fixant l'objectif avec un regard vicieux.
Ali me dit :
- C'est ma femme. Tu me montres ta copine ?
J'ai ouvert mon vestiaire, je lui ai laissé les photos. Il les a étalé sur la table et m'a dit :
- Elle est bonne, vient mettre la photo de ma femme à côté.
Je m'exécute. Et là, il sort une bite énorme et me dit :
- Concours d'éjacs, je me branle sur ta copine, toi sur ma femme, on verra qui crache le plus...
Et j'ai participé. Ali avait une bite énorme et il bandait vraiment comme un âne. Je regardais sa femme sur la photo mais j'imaginais surtout comment elle devait déguster avec un chibre pareil.
Il a vu qu'à un moment je regardais sa queue et m'a dit :
- Je suis sûr qu'elle aimerait bien ma bite ta copine
J'ai bredouillé que oui, certainement.
- Tu imagines un morceau comme ça dans son petit cul ? Ma femme, je l'encule tous les jours car elle prend pas la pilule.
J'ai regardé de nouveau la photo de madame Ali et j'ai pas pu résister à l'envie de lui demander :
- Elle aime ça ?
- Si elle aime ? Elle en veut tous les jours du gros chorizo d'Ali.
J'ai éjaculé, sur la table, à côté de la photo de madame Ali. Ali a tenu encore un peu. Il a craché sa semence sur une photo ou ma copine écartait elle aussi sa moule juvénile tout en me regardant. Il avait au moins trois fois plus de sperme que moi. Il avait gagné !