mon premier black

Il y a quelques mois je suis allé un jeudi après-midi dans un sauna en région parisienne. Ce dernier comporte un hammam qui compte 3 pièces, deux assez claires et une autre plus sombre et plus chaude (au propre comme au figuré) à laquelle on accède par les deux autres. C’est dans cette dernière que j’allais m’asseoir à l’extrémité de la banquette en U, juste à côté du gros cube carrelé qui abrite la production de vapeur.
Ce cube fait environ 1 mètre de côté et se trouve à l’entrée de la pièce, ce qui fait que le passage y est étroit.
Il y avait assez peu de monde et un homme était adossé au mur en face du cube. La porte de la deuxième pièce s’ouvrit et un jeune homme noir entra. Il avait environ 35 ans, était assez musclé, d’une taille d’environ 1,75 m, sa peau était foncée. Dès son entrée il se hissa sur le cube de fait qu’il était assis parallèlement à moi, je le voyais donc de profil arrière.
Au bout de quelques minutes l’homme qui était adossé au mur tendit le bras vers le sexe du jeune homme qui, d’un revers assez brusque, détourna la main de l’homme. Dans la foulée il se tourna de 90° vers moi, ses jambes pendant dans le vide. Ce mouvement attira mon attention et je posais machinalement mon regard sur mon voisin, sa peau était lisse et un sexe épilé et magnifique pendait entre ses jambes. Il était lisse, luisant et faisait environ 15 x 4 cm au repos voire plus.
Ce corps musclé et luisant me faisait penser à une statue de marbre et je ne pouvais détacher mes yeux de ce sexe parfait.
Je suis assez timide mais là l’envie était trop forte. J’avançais lentement mon visage vers lui, en évitant tout mouvement brusque et je déposais un baiser que je voulus tendre sur son gland. Je reculais un peu plus rapidement pour reprendre ma position de départ.
Il n’avait pas bronché et avait accepté mon hommage. Enhardi je revenais vers lui en mettant cette fois ma langue sous son gland et en l’enfournant dans ma bouche. Je commençais alors une fellation la meilleure possible pour lui. Je faisais tourner ma langue autour de son gland, alternait les rythmes rapides et lents, les prises en bouche profondes ou non, je léchais ses bourses et son prépuce.
Ce traitement eut pour effet de provoquer une belle érection de mon partenaire, de sorte que son sexe atteignit des proportions encore plus imposantes. J’étais très excité et je prenais un réel plaisir à jouer avec ce sexe fantastique. Je me tenais à ses jambes et lui caressais les mollets en même temps.
Une de ses mains vint se loger sur ma nuque dans mes cheveux et il commença à me caresser doucement. Soudain alors que j’avais son sexe dans ma bouche, il appuya sur ma nuque jusqu’à ce que mon nez touche son pubis. Son sexe était trop grand pour tenir entièrement dans ma bouche, il alla donc se loger au fond de ma gorge, je compris alors ce que voulait dire « gorge profonde ». Bizarrement cela se fit facilement, mon corps semblant en attente des désirs de mon partenaire. Cela dura quelques secondes, la poussée se relâcha et je repris mes caresses. Quelques minutes plus tard il recommença en faisant durer la phase « gorge profonde » un peu plus longtemps. Puis encore plus tard en augmentant encore le temps où mon visage s’écrasait sur son ventre.
Cela faisait bien 30 minutes que je me délectais de son sexe et j’aurais bien continué indéfiniment mais sa main dans mes cheveux me tira en arrière et il me dit :
- Il fait chaud ici, on va dans une cabine ?
Je lui répondis :
- Oui
Il descendit du cube et je me levais de la banquette, il me dit alors :
- Emmène-moi
J’empoignai alors son sexe dressé et le prenant en remorque je sortis du hammam, pris ma serviette qui était pendue sur les patères à l’extérieur, il en fit de même et nous partîmes vers les cabines.
Par chance la première était libre et je m’engouffrai dedans en tenant toujours mon partenaire par la queue. La cabine comportait un matelas recouvert de skaï posé sur une sorte de coffrage, j’y étendis ma serviette et m’allongeai sur le dos. Pendant ce temps il ferma la porte et mit le verrou, ce qui eut pour effet de résonner fortement.
Il s’approcha de moi et posa son sexe sur ma bouche. Je ne me fis pas prier pour le reprendre et poursuivre mon œuvre. Il était délicieux. Pendant ce temps sa main se posa sur ma poitrine et débuta une douce caresse circulaire qui descendait peu à peu vers mon ventre. Sa main passa entre mon ventre et mon sexe en érection et en formant une fourche avec son index et son pouce il le redressa pour le mettre à la verticale. Même ainsi il ne soutenait pas la comparaison avec celui de mon amant.
Tout en le maintenant dressé, ses doigts vinrent caresser mon périnée et descendirent jusqu’à mon anus. Il décrivait des petits cercles autour de mon orifice, risquant une pression ou à peine plus de temps en temps.
Il me dit alors :
- Mets-toi sur le ventre
Je m’exécutai, il m’écarta les jambes et vint s’agenouiller entre elles. Je l’entendis déchirer un sachet et sentis presqu’aussitôt ses doigts m’étaler du gel sur l’anus. Il déchira un second sachet que je devinai être celui d’un préservatif.
J’étais à la fois impatient et craintif, car sa verge était vraiment impressionnante et je suis très étroit. Dans un souffle je lui demandai alors :
- Va doucement
Il me répondit :
- n’aie crainte
Il s’allongea sur moi, son sexe posé sur ma raie, son gland dépassant et appuyant sur mes reins. Il resta ainsi quelques secondes et puis il se mit à soulever son bassin. Ce qui eut pour effet de faire glisser vers le bas son gland jusqu’à ce qu’il se retrouve face à mon petit trou. Je sentais sa pression, elle s’accentua jusqu’à ce que mes chairs s’écartent pour lui laisser le passage. Sa poussée était lente et attentive à mes réactions. Je ne ressentais aucune douleur mais avais une sensation de complète invasion de mes entrailles par ce sexe énorme. Comme tout à l’heure pour la fellation, mon corps avait décidé de s’ouvrir à mon amant. Son ventre vint au contact de mes fesses, j’étais littéralement empalé.
Il resta immobile un moment et me susurra à l’oreille tout en m’embrassant dans le cou :
- ça va ?
Je répondis d’une petite voix :
- oui
Il commença alors à reculer son sexe de quelques centimètres et avança de nouveau. Ses mouvements se firent de plus en plus amples jusqu’à devenir une pénétration en règle. Il avait une cadence de métronome mais savait également accélérer ou ralentir suivant ses envies. De temps à autre il effectuait également des rotations du bassin afin de m’ouvrir encore plus.
Il était infatigable et me limait sans arrêt. Il se pencha vers moi et me dit doucement :
- tu as un petit cul de salope
Ces mots durent l’exciter car j’eus droit à une cavalcade effrénée pendant quelques instants pendant lesquels je crus qu’il voulait me transpercer avec des coups de boutoir d’une rare intensité.
Un peu plus tard il m’écarta les fesses avec ses mains pour pouvoir aller encore plus profond en moi. J’étais au comble de l’excitation, ses mouvements me donnaient un plaisir intense.
Il se pencha à nouveau :
- hein que tu es une putain ?
- oui
J’eus à nouveau droit à la chevauchée du siècle. Cela faisait plus d’une heure qu’il était en moi à me donner du plaisir.
Une nouvelle fois sa bouche approcha mon oreille :
- tu es ma putain
- oui
- répète
- oui je suis ta putain
Il reprit ses mouvements pendant quelques minutes. Il fit une pause tout en restant en moi, j’étais haletant. Il me dit alors :
- je vais ouvrir
Je n’eus pas le temps d’assimiler ses paroles qu’il s’était retiré et se dirigeait vers la porte. Mon anus devait être béant car lorsque sa queue s’est retirée j’ai senti l’air me pénétrer et m’apporter un peu de fraîcheur. Le claquement du verrou qu’on retirait résonna et mon Maître, car à ce stade il avait largement dépassé le statut d’amant, ouvrit la porte de très peu, juste pour montrer qu’elle n’était pas fermée.
Il revint s’agenouiller entre mes jambes et cette fois il me pénétra d’un coup jusqu’à la garde. Je poussai un gémissement à la fois de surprise et de bonheur. Ses coups de boutoir étaient toujours aussi réguliers et intenses.
Un rai de lumière vint éclairer un peu plus la cabine, un homme avait ouvert la porte et devait se régaler du spectacle. Il s’avança, à ce moment mon amant amplifia ses coups, peut-être parce que le visiteur le caressait ?
L’homme s’avança un peu plus jusqu’à venir à ma hauteur. Il était vieux et nu et il posa son sexe sur la couche face à mon visage. On voyait à peine une queue fripée émerger d’une touffe de poils hirsute. Je détournai la tête de l’autre côté en signe de refus. La main de mon Maître crocha alors dans mes cheveux, il retourna mon visage vers le visiteur et me dit :
- suce-le
Je m’exécutai avec regret mais y mis tellement peu d’ardeur ni d’application que l’homme repartit très vite.
D’autres lui succédèrent et je dus les sucer à tour de rôle pendant que je me faisais prendre par mon amant.
Lorsqu’il n’y eut plus de candidats, et après encore quelques dizaines de minutes de copulation, mon bel amant black se retira de moi et me dit :
- je vais prendre une douche, je reviens tout à l’heure
Je le laissai partir, après quelques minutes je réussis à me lever de la couche, j’avais les jambes en coton, j’étais épuisé. Je me dirigeai chancelant à mon tour vers la douche et après celle-ci vers le vestiaire et partis.
Ce fut une journée inoubliable, celle de mon premier et à ce jour seul black. je suis retourné plusieurs fois un jeudi dans ce même sauna dans l'espoir de retrouver mon merveilleux amant, malheureusement sans succès.

Dommage que tu n'ai pas sucé mieux que ça, c'est tellement d'avoir une queue dans son cul et une autre dans sa bouche mais bon au moins tu t'es bien fait enculé, j'aurais apprécié d'être à ta place, un enculeur qui est doux, qui prend son temps, c'est tellement rare de nos jours

très beau récit ! tu m'as exciter

Fesses blanches pour queue noire

Bonjour,

@Mandragore
Il n'y a que le premier que j'ai mal sucé, tous les autres qui se sont présentés ont eu droit à une plus grande application, pas aussi poussée que pour mon amant d'un jour dont la queue m'avait subjugué.
Je sais que c'est bon de se faire embrocher par les deux bouts, d'ailleurs les anglophones ont un terme dédié "spitroated"; ce qui est surtout excitant c'est que les coups de boutoir de celui qui encule donnent le tempo de la fellation, on a vraiment le sentiment de n'être qu'une machine à plaisir.

@lalevrette
Il va vraiment falloir que tu prennes des cours de photoshop.....

Pour en revenir à ce sauna, il m'est arrivé un jour une autre aventure. Je décidai de partir après quelques heures infructueuses, je me dirigeai donc vers le vestiaire, ouvris mon casier, finis de m'essuyer après la douche et reposai la serviette sur la porte ouverte du casier.
J'étais donc nu, tourné vers mon casier. Je pris mon slip et étais en train de passer ma première jambe dedans, un peu dans la position du héron sur une seule patte, quand je sentis une main sur mes fesses.
Je n'avais pas du tout entendu venir mon peloteur qui continuai innocemment à me caresser.
Je me redressai sans me retourner et j'entendis l'homme me dire avec un léger accent que je suppose de l'Est:
-tu as un cul magnifique,
-c'est dommage que tu partes si tôt
-tu ne veux pas rester un peu plus longtemps?
Je répondis:
-pour faire quoi?
Pendant ces échanges, sa main était restée sur mes fesses et je dois dire que ses caresses étaient très douces.
Il me répondit:
-je vais bien m'occuper de toi tu vas voir

Je dois avouer que ses caresses m'avaient un peu excité, je me retournai alors pour le voir: il ressemblait un peu à Lee Van Cleef en plus jeune et avec des cheveux. Ce qui finit de me décider fut la vue de la bosse que faisait son sexe sous sa serviette, imposante.

Je lui dis alors:
-OK je te suis
et refermai mon casier avant de remettre ma serviette en guise de pagne

Il m'emmena alors au sous-sol qui n'était occupé que par des cabines et se dirigea vers celle du fond qui était la plus grande (2 couchettes côte à côte), elle était équipée de miroirs au plafond et sur deux murs opposés.
Arrivés dans la cabine, je retirai ma serviette et m'allongeai sur les couchettes. Il en fit de même et je pus constater que la bosse que j'avais vue tout à l'heure n'était pas factice, il avait un sexe énorme.
Sans préliminaires, il me mit à quatre pattes, me passa du gel sur l'anus, mit un préservatif et me pénétra avec précaution. Il savait que son engin était impressionnant et qu'il fallait en user avec soin.
Une fois sa place prise il commença à bouger progressivement pour atteindre finalement sa vitesse de croisière.
J'eus alors droit à un festival de positions: à quatre pattes, allongé sur le ventre, sur le dos, sur le côté, debout arc-bouté contre le mur, penché en avant sur la couchette, adossé au mur. Tout cela était rendu encore plus excitant par le reflet que je voyais dans les miroirs.
Enfin après plus d'une heure de pénétration mon amant jouit dans un râle puissant.
J'avais l'anus compétement ouvert et quand il se retira je sentis l'air frais me pénétrer, ce qui calma un peu l'échauffement que je pouvais ressentir.
Ce fut encore une belle journée où je rentrai complétement épuisé de ma petite escapade.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 12/10/20 19:27 par alapat91.

1 heure à se faire enculer !!! quelle chance tu as !!! perso mes amants tiennent 5 minutes rarement plus et c'est bien dommage mais bon se faire enculer pendant une heure j'aimerais bien essayer.
Oui je reconnais que sucer et se faire enculer en même temps c'est tellement bon, j'adore le faire mais hélas que trop rarement cela se produit.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 14/10/20 07:25 par Mandragore69.

Superbe histoire. Ca donne envie d'être à ta place. C'est tellement bon de se faire dominer et traiter comme une pute.