Les vacances sont finies. Cette année, elles ont été particulièrement riches en sensations. D’abord parce que ma femme avait le feu au cul. Pipes goulues, saillies puissantes mais surtout demandes répétées pour que je lui ‘casse le cul’, ce dont je ne me suis pas privé. Elle a toujours aimé ça mais là, c’était un cran au dessus de ce que nous vivons habituellement. Elle qui est chaude mais pudique s’est branlée à plusieurs reprises devant moi, et, chose exceptionnelle, a laissé un voyeur s’approcher près de nous pendant que je la sodomisais dans les dunes. Elle a fait comme s’il n’était pas là mais jetait des coups d’oeil de côté sur sa grosse bite puissante et elle a jouit pile poil au moment où elle a vu le foutre jaillir…
Moi j’ai pu profiter également de quelques ballades en solo pour faire quelques rencontres dans les mêmes dunes et c’est ainsi que je suis tombé plusieurs jours de suite sur le même homme d’une soixantaine d’années, dont j’ai sucé avec gourmandise le chibre somptueux. Une belle bite large et noueuse dont j’ai dégusté le jus quelques jours de suite. Deux jours avant notre départ, je me suis retrouvé à 4 pattes et lui derrière, il m’a emmanché assez facilement mais la seule capote a craqué. Donc une bonne pipe même si on avait tous les deux envie d’une bonne enculade.
Sur le chemin du retour, arrêt de quelques jours chez mon cousin. Martial habite la Nièvre, une maison assez isolée dans un bourg un peu loin de tout. Martial à presque 60 ans, divorcé et un physique de bûcheron canadien. Il a aussi un beau calibre, une belle tige et de belles couilles généreuses. Quand j’étais gamin, nous avons souvent faire des concours de branlettes. Il devait avoir 15 ou 16 ans à l’époque et un chibre impressionnant. Nous sommes arrivés le soir et durant le repas, j’ai vu les regards vers ma femme. J’imaginais que ça devait lui manquer. Le matin, je me suis levé tôt et lui aussi. Il voulait aller chercher du pain au village voisin. 10 minutes aller, 10 retour… C’est la Nièvre. Je lui ai dit que j’y allais.
Alors j’ai un peu traîné en chemin et j’étais de retour une 1/2 heure plus tard. Il était dans la douche. Je suis allé réveiller ma femme et dès que je suis rentré dans la chambre, j’ai sentir l’odeur du mâle. Elle ne dormait pas, elle était nue dans le lit (mais ça, c’est toujours). J’ai commencé à lui caresser les seins mais elle m’a demandé d’arrêter, mollement, sans conviction. Elle s’est montrée plus réticente quand j’ai commencé à descendre, prétextant qu’elle n’était pas douchée, j’ai insisté et c’est presque par la force que j’ai fini par poser ma bouche sur la vulve trempée. Sauf que ce n’était pas de la mouille. Sa chatte avait été utilisée. J’ai fait mine de penser que c’était de la mouille. Je lui ai dit qu’elle était trempée, que je pouvais pas la laisser comme ça. Je ne sais pas si elle m’a cru mais en tout cas, elle s’est détendue. J’ai commencé par la vulve, le goût salé du foutre de Martial, son odeur musquée… J’ai récolté une pleine lampée quand j’ai fourré ma langue entre ses lèvres. J’ai commencé à la lécher et j’avais l’impression que plus je léchais, plus il en sortait. Elle, ça l’excitait. Au bout de quelques instant, elle m’a fait basculé sur le dos et est venue s’asseoir sur ma bouche. Et là, ça a commencé à vraiment coulé. Je ne sais pas depuis quand il n’avait pas baisé mais visiblement, il lui avait mis une sacrée dose. Elle profitait de ma langue, m’agrippant la tête. Elle a jouit comme ça. Moi je suis resté avec ma queue dure. Je pense qu’elle en avait eu assez.
Quand nous sommes descendus, j’ai senti une petite gène de la part de Martial. Mais assez vite dissipée. Je suis allé chercher le pain tous les jours et tous les jours, j’ai ensuite bu le foutre de mon cousin coulant de la chatte de ma femme. J’imaginais cette grosse bite coulissant en elle, les couilles se balançant au rythme de la saillie. J’ai également deviné qu’il l’avait sodomisée à plusieurs reprises, notamment les après-midi. Elle et moi faisions une petite sieste coquine et ensuite, je la laissais pour aller pédaler pendant une bonne heure dans les environs. Son oeillet martyrisé par la verge épaisse restait dilaté bien après mon retour… J'aurai adoré être à sa place.
