Médecin pervers

Il y a quelques temps j’avais répondu à une annonce sur le net d’un médecin proposant une visite médicale poussée. Les photos agrémentant l’annonce ne laissaient que peu de doute sur le genre d’examen pratiqué. Après plusieurs échanges sur messagerie, rendez-vous fut pris pour un jour de semaine en fin d’après-midi.
A l’heure convenue je me présentais devant la porte d’une maison de banlieue et sonnais. Après quelques secondes elle s’ouvrit et un homme mûr me fit entrer et me dirigea vers la salle d’attente en me disant :
- Asseyez-vous, je reviens dans quelques instants
J’étais seul dans la salle et après quelques minutes, la deuxième porte s’ouvrit sur l’homme qui m’avait fait entrer et qui avait revêtu une blouse blanche. Il me fit entrer dans son cabinet et me désigna une des deux chaises en face de son bureau.
Son cabinet, outre son bureau sur lequel trônait un grand écran d’ordinateur comprenait un grand fauteuil en cuir dans lequel il s’assit, une bibliothèque remplie de livres, un lit d’examen, un petit escabeau à deux marches, un tabouret, un meuble bas, une desserte sur laquelle était posé un haricot médical rempli d’instruments plus sexuels que médicaux.
Une fois assis, le médecin me posa toute une série de questions sur mes antécédents, mes traitements, mes allergies, enfin tout ce qu’un médecin normal peut demander à un nouveau patient. A la fin de cet interrogatoire il me demanda de lui confirmer que je venais pour un check-up complet, ce que je fis.
Il se leva alors et me dit :
- Bien, déshabillez-vous et mettez-vous en slip
Je m’exécutai et une fois en slip il me demanda de m’asseoir sur le rebord du lit d’examen en me montrant le petit escabeau pour que je m’en serve d’aide pour monter. Là il prit son stéthoscope et m’ausculta le cœur et les poumons. Il prit ensuite ma tension et une fois ces examens terminés il me pria de descendre. Je descendis donc du lit et me tint debout devant celui-ci.
Il prit son tabouret et vint s’asseoir devant moi. Il baissa mon slip et me demanda :
- Vous vous êtes rasé pour l’examen ?
Je lui répondis :
- Non, je suis constamment épilé
Il me palpa alors les testicules tout en m’expliquant que la palpation avait pour but de détecter d’éventuels problèmes. Cela dura quelques minutes ponctuées d’un :
- Tout est normal, allongez-vous sur le lit nous allons poursuivre l’examen
Je remontai mon slip et m’allongeai sur le lit. Une fois allongé, il glissa sa main dans l’ouverture horizontale de mon slip (je porte des slips HOM H01, pub gratuite) et redressa ma queue de sorte que le gland sorte du slip. Il me décalotta et attendis que mon prépuce revienne en position.
- Bien, le prépuce coulisse bien
Il me demanda ensuite de soulever le bassin et me retira mon slip, j’étais donc allongé nu sur le lit d’examen.
- Nous allons examiner votre prostate
Dit-il en enfilant un gant de chirurgien. Une fois sa main habillée, il déposa une noisette de gel sur mon anus et m’enfonça son doigt. Il le fit coulisser plusieurs fois et à plusieurs reprises il essaya d’aller le plus loin possible tout en l’agitant. C’était une sensation très agréable et mon sexe commençait à durcir.
Il retira son doigt puis son gant et me dit :
- Tout semble normal mais nous allons approfondir l’examen
Il prit alors sur sa desserte un gode réaliste qu’il habilla d’un préservatif. Il avait une taille standard, je dirais un diamètre de 3 cm sur une longueur de 15-18 cm. Après lui avoir déposé une goutte de gel à son extrémité il me pénétra avec et commença de longs et lents va-et-vient dans mon anus. Là mon sexe était vraiment devenu dur.
Laissant le gode planté dans mon anus il posa une main sur ou plutôt sous mon sexe et le souleva un peu. Il sortit alors un mini vibromasseur rouge à pile avec une tête en forme de champignon de la poche de sa blouse et le posa sur ma tige tout en l’actionnant.
Les vibrations sur ma queue eurent pour effet immédiat, outre un sursaut de ma part, de consolider mon érection. Il promenait la tête de son engin de mes bourses à mon gland en insistant sur les endroits les plus sensibles. J’étais tendu comme un arc.
Je gémissais et ma respiration s’était accélérée.
Après plusieurs minutes de ce traitement il arrêta son engin de torture délicieuse et le rangea dans sa poche. Il retira également le gode de mon cul et me dit :
- Rien à signaler, nous allons cependant élargir le champ d’investigation
Il prit alors dans le haricot un autre gode, énorme celui-ci, 5 à 6 cm de diamètre pour une longueur d’au moins 25 cm, qu’il coiffa d’un nouveau préservatif et qu’il enduisit de gel.
Voyant la taille de l’engin, je lui dis :
- Ça ne rentrera jamais il est trop gros
Il me répondit :
- N’ayez crainte on mettra ce qu’on pourra
Et le fait est qu’au bout de quelques centimètres la pénétration se fit douloureuse et il n’insista pas. Il le laissa cependant planté en moi et alors qu’il passait son bras au-dessus de moi pour prendre quelque chose sur la desserte qui se trouvait derrière ma tête il effleura ma poitrine, ce qui me fit sursauter.
- Oh ! vous êtes sensible…
Dit-il et il posa ses deux mains sur mes têtons qu’il commença à caresser. Ils ne tardèrent pas à durcir et pointer fièrement.
Après s’être amusé quelques minutes avec eux, il les abandonna pour venir retirer le gros gode qui était toujours fiché entre mes fesses. Il le rangea après l’avoir débarrassé de sa capote qu’il jeta dans la poubelle au pied du lit d’examen.
Il revint alors au chevet de mon sexe qui n’avait pas débandé depuis le début et concentra toute son attention sur lui. Il le caressait, le massait, le branlait, le serrait, le frottait, le chatouillait, on aurait dit un gamin jouant avec un son jouet préféré.
Après un long moment je n’en pouvais plus et le prévins :
- Je n’en peux plus, je vais jouir…..
Il me répondit d’un ton ferme :
- Il faut te retenir, tu es un homme
Et alors qu’il continuait à jouer avec mon sexe, je sentis soudain quelque chose me pénétrer l’anus. C’était assez gros et cela vibrait. Je crus sur l’instant que c’était son vibromasseur à tête de champignon mais je vis plus tard quand il le retira qu’il s’agissait en fait d’un sex-toy moderne qui ressemble plus à une sculpture abstraite qu’à un objet de plaisir.
En tout état de cause, au bout de quelques minutes de vibrations conjuguées aux caresses sur mon sexe, je ne pus aller plus loin et jouis intensément dans un long râle.
Il retira alors son sex-toy de mon anus, posa sa main sur mon torse en un geste apaisant, et me demanda avec un sourire :
- C’était bon ?
Je luis répondis :
- Oui, c’était délicieux et intense.
Il me tendit alors un rouleau de papier essuie-mains et me proposa de prendre une douche si je le souhaitais.
Je m’essuyai et déclinai sa proposition car il était déjà tard, la séance avait duré près d’une heure et j’avais de la route à faire pour rentrer chez moi.
Nous convînmes qu’il y aurait d’autres consultations mais ceci fera l’objet d’une autre histoire.

si ela pouvait m'arriver je serais comme toi aux anges...... et j'irai tous les deux jours chez le medecin

Superbe histoire. Voici un médecin que j'aimerais rencontrer. J'en fantasme déjà!

Super

Sympathique expérience, le récit de cette histoire doit fantasmer plus d'un homme.

Quelle belle expérience !! très bandante cette histoire , mon petit cul est envieux !!!!!



Modifié 1 fois. Dernière modification le 19/03/24 14:41 par charly78.

Ça me déplairait pas une visite médicale comme ça...

Une expérience non perverse car elle s'est passée le plus naturellement du monde.
Voici qulques années, j'étais déjà un homme dans le début de la septantaine.
Un soir, j'ai ressenti quelques picotements à l'anus qui n'ont pas disparu les jours suivants.
Je suis exhib et je me disais que je pouvais joindre l'utile à l'agréable, me faire ausculter
intimement, encore fallait-il que le médecin me plaise !
J'ai une attirance pour les vieux et l'une de mes connaissances m'a donné l'adresse de
son médecin. Il a seulement été étonné par ma question, de savoir s'il était âgé, sans doute
a-t-il pensé que je recherchais l'expérience.
Je prends rendez-vous et lorsque la porte du cabinet s'est ouverte, j'ai compris que j'avais
envie de baisser froc et slip devant lui, son âge et son allure de "papa" gentil !
Après lui avoir expliqué le pourquoi de ma visite, c'est tout simplement qu'il m'a demandé
d'enlever mon pantalon et mon slip et m'a demandé de m'allonger sur la table médicale.
Alors qu'il s'installait sur un tabouret, il m'a demandé de relever mes cuisses vers ma poitrine
et je les ai maintenues à l'aide de mes mains.
J'avais alors, ma queue, mes couilles et mon trou du cul à portée immédiate de son regard
et il a commencé à me palper . De ses deux mains il a écarté l'ouverture de l'anus pour vérifier
l'inflammation, il m'a introduit son doigt pour un toucher de la prostate et il a palpé mes
couilles.
J'a pu alors me relever, me rhabiller, rien de plus ne s'est produit hélas mais j'ai trouvé cela
très excitant.
Une ordonnance pour une pommade qui devait venir à bout de ces démangeaisons et nous
nous sommes dits au revoir comme si de rien ne s'était passé.
Ci-joint une photo de mon fessier plus ou moins dans la position où je me trouvais !