Ton histoire, moi, je l'aurais écrite comme ça:
Il faisait beau, ma maîtresse avait envie de me voir et comme j'avais un peu de temps à lui accorder, je lui donne rdv dans la ville habituelle, sur un petit parking.
Dès qu'elle arrive, elle me sourit. J'en déduit tout de suite qu'elle a une idée en tête, je la connais depuis plus de 5 ans. Aussi comme le parking est relativement fréquenté, je lui propose d'aller ailleurs. Je pensais trouver des endroits sympas en bord de forêt, mais c'était sans compter sur la protection de la nature, la plupart des accès étaient barrés avec des cailloux. Mais après avoir tourné en rond, je trouve un petit accès dans une forêt, de quoi garer nos deux voitures
Elle descend de sa voiture et viens me rejoindre dans la mienne, beaucoup plus spacieuse. En l'embrassant je glisse une main sous sa petite robe, et comble de bonheur, elle est entièrement nue.
Mais je devine que des voyeurs rodent. Elle s'en aperçoit et ça la rend mal à l'aise. Qu'importe, son envie est telle qu'elle s'installe à l'arrière de ma voiture, on s'embrasse, on se caresse mutuellement, je tête ses seins, elle a des adorable tétons et très sensibles, un vrai régal, et je prends l'initiative de lui administrer un cunnilingus car je sais qu'elle adore, son mari ne lui en fait pratiquement jamais. Mais je la sent un peu coincée car elle a peur d'être surprise par les hommes que l'on avait aperçu en se garant.
A force de succions et de léchouilles bien appuyées sur son clito, elle jouit plusieurs fois, dont une dernière fois qui laisse des traces sur le cuir des sièges.
Je me redresse, elle se remet dans une position plus sage, on s'embrasse à nouveau, et là, elle me dit qu'elle a envie de me sucer.
Ne pouvant pas lui refuser ce plaisir, je la laisse faire. Elle sort ma queue de mon pantalon et l'engouffre entièrement dans sa bouche. Elle a une façon bien à elle de sucer, et à chaque fois, je ne tiens pas longtemps car elle sait y faire. On voit tout de suite qu'elle aime ça, surtout qu'elle titille toujours ma rondelle quand elle me suce, mais refuse d'introduire un ou deux doigts. Dommage, mais je me contente de sa façon. La preuve, je jouis à mon tour, et grâce à son fort appétit, elle me rend ma queue toute propre, aucune goutte de perdue. Je me rajuste et on discute de choses et d'autres, mais je la vois qui surveille toujours les abords, pas sereine alors que moi, je m'en moque éperdument
Puis vient l'heure de se quitter, elle doit rentrer chez elle, à une bonne heure de route, aussi. Elle me fait le coup qu'elle veut me revoir, je lui dit que ça se fera selon nos disponibilités, on s'embrasse une dernière fois et elle s'en va
Mon téléphone sonne, le boulot, l'appel dure 5 à 10 minutes, durant lesquelles je regarde autour de moi, mais sans chercher, un regard vague. Et c'est comme ça que je tombe sur un homme qui m'épie depuis sa voiture.
N'ayant pas pu assouvir ma soif de sexe malgré la pipe que ma maîtresse m'a accordé, il me vient l'idée de joindre l'utile à l'agréable. Alors je descends de voiture, ferme l'auto à clefs et je me dirige doucement dans le bois.
Peu de temps après j'entends les branches cassées sur le sol se faire piétiner. L'homme me suit, et comme j'arrive sur une clairière isolée, je m'arrête et je l'attends. Il me propose de me sucer, je lui explique que je ne suis pas contre mais comme je viens de l'être par ma maîtresse, j'ai bien peur qu'il faut attendre un peu que ça revienne, je n'ai plus 20 ans.
Aussi je lui propose de le sucer, ce qu'il accepte, il a une belle queue comme je les aime, fine et longue. Mes succions le font bander de plus en plus, et comme il a réveillé mes instincts bestiaux, et que ça me démange sérieusement, je lui propose qu'il m'encule.
Sa queue me plaisait et comble de bonheur, il accepte. Il enfile un préservatif, crache sur ma rondelle, il masse un peu, puis appuie son gland sur mon anus. Ce dernier s'ouvre comme une fleur, je sent la pénétration, ses mains sont agrippées à mes hanches. Il est délicat car il rentre centimètre par centimètre, tout en douceur, ma queue en coule de joie. Puis une fois qu'il s'est retrouvé en butée contre mes fesses, il a attendu un peu, ce qui a fait que je me suis encore plus détendu, et c'est moi qui avec un mouvement de reins, lui ait donné le top départ.
Il m'a limé le fion comme un dieu, ses va-et-vient me comblaient, je jouissais à nouveau sans avoir besoin de me branler, de plus en plus fort, et quand il a senti qu'il allait jouir à son tour, il a déculé, retiré la capote et s'est branlé pour jouir sur mes reins. J'ai senti des longs jets atterrir sur ma peau, c'était chaud, un délice
On s'est rhabillé sans un mot, puis nous sommes partis chacun dans une direction différente. Je ne sais rien de lui, lui rien de moi, on ne se reverra probablement jamais, mais on a pris notre pied tous les deux et c'est tout ce qui compte
Je suis retourné travaillé à mon bureau, satisfait de cette après-midi comme je les aime. Dommage qu'elles ne soient pas aussi fréquentes comme je l'aimerai
