Pas la moindre hésitation de la part de Christine et de Jean-Louis. L'idée que je les regarde se tripoter doit leur plaire, alors ils obtempèrent et ils se glissent vers la droite de la banquette. Je règle encore le rétroviseur. Je démarre et on entre lentement dans Vincennes. Je profite de la longue ligne droite de l'avenue de Paris pour tourner la tête brièvement vers l'arrière. Je jubile ! Nous sommes en ville, il y a un peu de circulation, et ma femme et mon pote sont en train de se tripoter à l'arrière de ma voiture ! Je n'ai pas rebouclé ma ceinture de sécurité, j'ai la bite à l'air, moi aussi, et je me pétris le gland tout en conduisant ! Et si on était arrêtés par les flics pour un contrôle ! Ça nous est déjà arrivé, à nous trois, à d'autres occasions. Maintenant, nous voilà dans le bois de Vincennes. Là aussi, je peux tourner la tête et les regarder. Ils sont de nouveau bouche contre bouche et leurs mains s'activent, elle sur sa queue à lui, qu'elle masturbe lentement, et lui dans sa petite culotte et sur sa poitrine.
Je réalise que nous approchons de l'entrée de l'autoroute A4 à Joinville. A l'époque, cette sortie n'était pas encore fermée. En sortant du cinéma, nous étions partis pour rentrer à la maison et nous faire une petite bouffe comme d'habitude après un film. Sur le coup, l'idée de promener sur le chemin de la maison ma femme et mon copain en train de se tripoter dans ma voiture me plaisait bien. Mais nous ne sommes plus qu'à un quart d'heure ou vingt minutes de chez nous, et ils devraient éventuellement continuer dans notre lit ou sur le canapé, avec le risque qu'un retour dans notre réalité quotidienne ne les refroidisse. Alors vu l'évolution de la situation, je préfère que ça continue dans la voiture. C'est beaucoup plus excitant. Je décide donc de m'engager sur l'autoroute. En plus, les longues lignes droites de l'autoroute me permettront de me retourner plus régulièrement en toute sécurité et de mieux profiter du spectacle.
Voilà, nous y sommes. A mon avis, les deux derrière moi ont sans doute vu que je prenais l'autoroute, mais occupés comme ils le sont, ni l'un ni l'autre ne fait de commentaire ou ne pose de question. Peut-être qu'ils ont intérieurement tenu le même raisonnement que moi, et que l'autoroute leur paraît préférable à un retour à la maison. A cet endroit, qui est le vrai début de l'autoroute à la sortie de Paris, la vitesse est limitée à 90. Je roule tranquillement sur la voie de droite.
« Enlève ta culotte. ». C'est Jean-Louis qui vient de dire ça. Je jette un coup d'œil. Aussitôt, Christine s'exécute fébrilement. Elle se tortille sur la banquette, et Jean-Louis l'aide à glisser la culotte sur ses cuisses puis sur ses chevilles. Et dans le même élan, elle dégrafe sa minijupe qui rejoint la petite culotte au pied de la banquette. C'est bon ! La voilà le cul et la chatte à l'air ! Ils sont maintenant tous les deux le sexe à l'air ! Plus aucun obstacle potentiel entre sa queue à lui et sa chatte à elle ! Certes, c'est symbolique, mais c'est un grand pas de plus vers un accouplement. Et ça accentue mon excitation.
Christine s'apprête à lui redonner sa bouche, mais il a entrepris de déboutonner son chemisier depuis le bas. Elle l'aide en s'attaquant aux boutons du haut. Je vois tout ça par épisodes, quand je suis en mesure de me retourner sans risquer de nous foutre dans le rail de sécurité. Il faut quand même que je surveille la route. La poitrine de Christine apparaît. Elle a une poitrine magnifique, ma femme ! Jean-Louis s'est penché et il lui bouffe un sein tout en lui pétrissant l'autre. Elle, de sa main gauche, elle lui tient la tête et elle le regarde faire avec cet air attendri que je lui connais bien. Elle me jette un coup d'œil … et elle me tend sa main au-dessus de mon dossier. Je la prends et j'y pose mes lèvres. Visiblement, elle est heureuse de ce qui se passe.
Jean-Louis se redresse, et il pousse Christine en arrière. Elle se laisse tomber sur la banquette et je ne la vois plus. Ou plutôt, je ne vois plus d'elle que son ventre et ses jambes. Jean-Louis lui écarte les cuisses et il se penche. Il veut lui bouffer la chatte ! Hhhmmmm, très bien, ça me plaît ! Mais, même avec son cul contre la portière, il est trop grand, et au mieux, il peut poser sa bouche sur son nombril. Alors il s'agenouille dans l'étroit espace entre les sièges avant et la banquette. D'elle même, Christine pose son pied gauche par terre, elle remonte sa cuisse droite et elle pose son pied sur le dessus du dossier de la banquette. La voilà les cuisses grandes ouvertes et le sexe offert ! Ça y est, mon pote va bouffer la chatte de ma femme ! Il va lui mettre sa langue dans le vagin ! Mais avant, je le vois lui écarter délicatement les petites lèvres, et contempler sa vulve. A son tour, il me jette un coup d'œil, puis il passe lentement sa langue sur le clitoris de Christine avant de se redresser. Ça se passe juste là, au milieu de la banquette, et je vois ça par intermittence entre les dossiers des sièges avant.
Putain, c'est à la fois magnifique et tellement excitant ! Quand nous roulions encore en ville, je m'étais mis à me tripoter doucement la bite. Mais j'ai arrêté parce que j'étais déjà au bord de l'éjaculation. Ça s'était un peu calmé, mais là, de nouveau, je sais que si je me touche la queue, j'explose ! Jean-Louis a commencé à enfoncer un peu ses doigts dans le sexe de Christine, et elle a aussitôt réagi avec un petit gémissement de plaisir. Ça y est, mon pote est déjà un peu dans ma femme ! Ça me plaît, et j'ai hâte que ce soit son sexe en érection qu'il enfonce dans son sexe à elle !
- Putain, t'es déjà toute mouillée !
Jean-Louis vient de commenter. Christine:
- Ben oui. Ça t'étonne ?
- T'as envie à ce point ?
- Oui !
- Moi aussi. Y'a longtemps que j'ai envie de toi.
- Je sais.
- Et toi, y'a longtemps que tu as envie de moi ?
- Non. C'est ce soir, à cause de ce film. Il m'a excitée. Et que Marin veuille que tu me baises, ça m'excite encore plus.
- Alors, devant ton homme, ça te gêne pas ?
- Non. C'est lui qui veut.
Elle a tendu son bras et posé ses doigts sur son propre sexe et elle caresse les doigts de Jean-Louis qui ont commencé à l'explorer. Jean-Louis:
- Et toi, tu veux … tu veux quoi … tu veux tout ?
- Oui.
- Tu veux que je te baise ?
- Oui. J'ai envie que tu me baises et que tu jouisses dans mon ventre.
Jean-Louis se penche, et il pose sa bouche sur le sexe de Christine. Je vois son ventre réagir, se creuser, se contracter, elle gémit et elle pose sa main sur la tête de Jean-Louis. Je vois qu'en plus de lui téter le clitoris, il a enfoncé le pouce de sa main droite dans son vagin. Elle halète, elle se cambre sur la banquette. Les puissants lampadaires de l'autoroute éclairent la scène par intermittence.
Rien qu'un instant, j'ai envisagé de sortir de l'autoroute pour chercher un coin tranquille dans la campagne où me garer pour les regarder faire l'amour, mais je préfère continuer à rouler. Ça a quelque chose de plus … de plus … excitant. Il y a encore pas mal de circulation sur cette autoroute et ça me plaît que des automobilistes passent à côté de nous, nous dépassent, sans se douter qu'à l'arrière de ma voiture, mon pote est en train de donner du plaisir à ma femme, et que, dans pas longtemps, il va certainement carrément la baiser !
Nous sommes entrés dans le long tunnel de Champigny, éclairé comme en plein jour. Je sais qu'une fois passé le tunnel, il y aura encore quelques kilomètres éclairés, puis que ce sera la nuit noire, sauf au niveau des sorties. Il faudra alors que j'allume le plafonnier au-dessus d'eux si je veux encore les voir.
J'adore voir ma femme avec les cuisses grandes ouvertes et son sexe offert à la caresse buccale d'un autre homme. En moi-même, je m'adresse à Jean-Louis: « Mon pote, je te prête ma femelle, alors baise-la bien ! ».
Son cunnilingus dure longtemps et fait beaucoup d'effet à Christine. Je ne le vois pas, mais aux bruits qu'elle fait sur la banquette, je devine qu'affolée par ce que Jean-Louis lui fait, elle oscille de tout son corps de droite à gauche en gémissant. Je ne me retourne pas constamment, évidemment, mais de coup d'œil en coup d'œil, je me rends bien compte que, tantôt Jean-Louis lui tète le clitoris et le presse entre ses lèvres, tantôt il lui enfonce sa langue dans le vagin. De temps à autre, son plaisir est si intense que Christine se redresse convulsivement, en serrant dans ses mains le crâne de son amant, avant de retomber en arrière. Je la connais, je sais que quand son plaisir en est à ce point, elle se mord la lèvre inférieure pour ne pas crier. Je sais aussi qu'à ce stade de plaisir et d'excitation, elle a une envie folle d'avoir un sexe en elle.
Ça y est, nous sommes sortis de la zone éclairée de l'autoroute. Je tends le bras et j'allume le plafonnier au-dessus d'eux. Ce n'est pas terrible, la lumière est faible et je ne vois pas grand chose. De plus, après l'éclairage assez intense du tableau de bord, il faut quelques secondes d'adaptation à mes yeux pour s'habituer à la pénombre de l'arrière de la voiture. Heureusement, il me revient en mémoire que, sur cette voiture, l'intensité de l'éclairage du tableau de bord est réglable. Je cherche pendant quelques secondes, et je finis par retrouver quelle manette il faut manipuler. Voilà, c'est un peu mieux.
J'imagine qu'à bouffer comme ça la chatte de Christine, à l'entendre et à la sentir réagir comme ça, Jean-Louis est aussi dans un état d'excitation absolue. Ça ne peut qu'aboutir et se conclure par leur accouplement. Maintenant, son pouce toujours enfoncé dans le vagin de Christine, Jean-Louis lui lèche, lui embrasse et lui caresse l'intérieur des cuisses. Soudain, Christine repousse la tête de Jean-Louis et se redresse:
- Arrête ! Maintenant, c'est à moi ! Je veux te sucer !
Je ne l'ai quand même jamais vue dans un tel état ! Avec moi, elle n'a jamais été aussi cash, aussi crue ! Ça pourrait me choquer, je pourrais être un peu jaloux, mais non. Au contraire. Tout ça semble avoir débloqué quelque chose en elle … une sorte de furie sexuelle. Aussitôt, Jean-Louis sort de l'espace exigu entre les sièges et s'assied sur la banquette, jambes écartées. Christine me regarde, elle me sourit, elle s'agenouille sur la banquette et elle se penche sur le ventre de Jean-Louis. Voilà, elle a sa queue dans sa bouche et elle commence à monter et à descendre. Ma femme suce la bite de mon pote ! Dans un sens, j'aimerais le voir lui éjaculer dans la bouche, mais au fond de moi, je préférerais de beaucoup qu'il jouisse dans son ventre. Sa main gauche glissée entre les cuisses de mon pote, elle lui tripote les couilles. Le cul en l'air, elle semble prise d'une véritable frénésie à lui tailler cette pipe.
Jean-Louis me regarde. Il me sourit:
- Ça te plaît de me voir … euh … comme ça avec ta femme ?
- Beaucoup. Toi aussi ?
- Ouais.
- Elle est bonne, hein ?
- Oh ouais !
- Tiens-la par la nuque pendant qu'elle te suce.
Il pose sa main sur la nuque de Christine et il la regarde le sucer, visiblement étonné de la voir aussi active et délurée.
- Depuis le temps que t'avais envie de te la faire, ma femme, hein ! Sa chatte, tu la trouves comment ?
- Comment ça ?
- Au goût.
- Ah ouais ! Super bonne !
- Moi aussi, j'adore le goût de sa chatte.
- Ouais, c'est vraiment … et alors, qu'est-ce qu'elle mouille !
- C'est qu'elle est super excitée. Elle a sûrement très envie de se faire baiser … et hâte que tu la baises. D'ailleurs, moi aussi, j'ai hâte que tu la baises.
Quand je me retourne à nouveau, je m'aperçois que Christine a ôté sa main gauche d'entre les cuisses de Jean-Louis et que son bras est maintenant coincé entre son propre ventre et sa cuisse. A mon avis, elle est en train de se masturber. D'ailleurs, on entend une sorte de plainte sortir de sa gorge … entre le gémissement et le ronronnement. Jean-Louis:
- T'es vraiment sûr ?
- De quoi ?
- Qu'elle a envie et hâte que je la baise …
- Evidemment. Elle ne t'aurait pas invité à la rejoindre à l'arrière, elle n'aurait pas ôté aussi facilement sa petite culotte, elle ne t'aurait pas masturbé et sucé comme ça. Et puis tu lui as bien bouffé la chatte. Comment elle pourrait ne pas avoir envie ?
- Ouais. Mais, toi aussi, tu as hâte ?
- Ouais. J'ai envie de voir ta queue dans sa chatte, savoir que tu es dans son ventre, au fond de son ventre. Mais surtout, il ne faudra pas te retirer quand tu jouiras. T'as entendu ? Elle veut que tu éjacules dans son ventre.
- D'accord. Et toi ?
- Moi aussi, je veux que tu éjacules dans son ventre. Et je la baiserai après toi.
A sa façon de bouger, je sens que Christine prend beaucoup de plaisir à lui tailler une pipe. Et je suis sûr que notre conversation à Jean-Louis et moi n'est pas faite pour lui déplaire. Elle prend son temps, elle fait durer, elle savoure. De temps en temps, elle se redresse et elle reprend son souffle tout en continuant de masturber Jean-Louis. Elle me regarde, elle me sourit.
- Ça te choque, notre conversation, à Jean-Louis et moi ?
Elle secoue vigoureusement sa tête:
- Noooon !
- Ça t'excite ?
- Ouiiiii ! Et toi, t'es content qu'on fasse ça, lui et moi ?
- Oui, beaucoup.
Elle s'apprête à reprendre sa fellation mais Jean-Louis l'arrête:
- Attends ! Maintenant, je … je vais te la mettre, ma bite.
- Comment ? Dans quelle position ?
- Retourne toi. Mets toi à genoux sur la banquette. Je vais te prendre en levrette. Tu aimes ça ?
- Oui.
Tous deux changent de position. Je ne vois plus de Christine que ses reins, son cul et ses jambes. Vu l'angle que fait son corps, elle doit avoir posé sa tête sur la banquette derrière moi, sans doute sur ses avant-bras croisés. Elle a écarté les genoux autant que possible, vu l'étroitesse du siège. C'est magnifique ! Elle s'offre à lui dans la position qui, pour moi, représente l'abandon de soi à l'autre. C'est un peu « Fais moi ce que tu veux, je suis à toi ! ». Et maintenant, lui, mon pote, il va la prendre et la posséder ! Parce que, à mes yeux, cette position, du point de vue de l'homme, c'est celle dans laquelle il possède vraiment la femme.
Le voilà qui se place derrière elle, également à genoux. Mais le bord de la banquette s'affaisse sous son poids et il manque de basculer sur le côté et d'entraîner Christine. Il se rétablit, il pose son pied droit par terre, et, tenant fermement sa verge, sa main libre posée sur les reins de Christine, il approche sa queue de son cul. J'ai ralenti. On roule à 70 sur la voie de droite. Des voitures nous dépassent à grande vitesse. On est sur la portion limitée à 110. J'espère seulement qu'un barjot ne va pas nous arriver derrière à cette vitesse. Alors je pense à mettre les feux de détresse. Comme ça, non seulement on nous verra mieux, mais ça expliquera pourquoi on roule si lentement.
Je jette des coups d'œil de plus en plus fréquents à l'arrière. Je veux voir leur coït ! Il a lâché sa queue ! Elle a poussé un petit gémissement ! C'est qu'il est déjà dans elle ! Et je vois le ventre de mon pote venir se plaquer contre les fesses de ma femme ! Il est dans elle ! Mais voilà, dans cette position, je ne vois pas sa queue entrer dans la chatte de Christine ! C'est frustrant !
Il a posé ses mains à l'angle des cuisses et du ventre de Christine, et il va et vient lentement. Ça y est, il est en train de la baiser ! Je ne vois pas vraiment, mais je trouve ça génial ! Et je suis heureux pour eux ! Oui, ça peut paraître dingue, ou pervers, ou je ne sais quoi, mais je suis heureux pour Christine parce qu'elle assouvit une envie. Je ne sais pas exactement comment elle vit tout cela au fond d'elle-même, mais ce qui est sûr, c'est que, ce soir, elle avait une furieuse envie de ça. Est-ce que ma présence pendant qu'elle copule avec Jean-Louis ajoute à son plaisir ? J'en ai bien l'impression. Et je suis heureux pour lui. Oui, ça fait longtemps qu'il rêve de la baiser. Quand je les ai présentés l'un à l'autre, il y a des années, j'ai tout de suite vu qu'il flashait sur elle. Sur son cul, en particulier. Comme moi, d'ailleurs, quand j'ai fait sa connaissance au lycée … un cul magnifique qui faisait baver d'envie tous les mecs de notre classe ! Et Jean-Claude ne s'est pas privé de me faire savoir sans filtre quel effet elle lui faisait. Il ne s'est pas privé non plus de lui faire des compliments plus ou moins directs. Il va avoir assouvi son désir. Est-ce que lui aussi ça l'excite davantage que je sois là ? Sans doute.