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Souvenir de jeunesse

Envoyé par SoloseXe 
Souvenir de jeunesse
Thursday 25 August 2022 13:57

SoloseXe
Travesti, 70 ans, France, Bretagne
Je vais vous raconter un souvenir de notre jeunesse, à ma femme Christine et moi. Ça devait être en 1975 ou 1976. Nous avions donc pour elle entre 23 et 24 ans et pour moi entre 24 et 25 ans. Dans les grandes lignes, les faits se sont déroulés comme je les décris. Les lieux sont vraiment ceux où les faits se sont déroulés. Mais comme cela remonte à 45 ans, et la mémoire étant fluctuante, j'ai reconstitué le détail des faits et des dialogues en mêlant bribes de souvenirs et imagination. Et bien sûr, j'ai changé les prénoms: ma femme ne s'appelle pas Christine, et le copain dont il est question ne s'appelle pas Jean-Louis.

Donc, avec ma femme Christine et mon copain Jean-Louis, nous étions allés au cinéma sur les Champs Elysées voir un film érotique. A l'époque, nous évitions les salles un peu glauques et mal famées où passaient des films pornos bas de gamme. Nous ne voulions pas fréquenter ce genre de salles, et à partir des années 1970, les premiers films "grand public' ou il était question de sexe, et parfois un peu intellos, qu'on pouvait aller voir dans les salles "normales" commençaient à sortir: Emmanuelle en 1974, Le Dernier Tango à Paris en 1972, La Bête sorti en 1975, Les Diables en 1971.

Nous étions donc au milieu des années 1970. Je ne me rappelle pas quel film nous étions allés voir ce soir là, et peu importe. Pendant une bonne partie du film, ma femme m'avait discrètement tripoté le paquet à travers la toile de mon jean et nous étions sortis du cinéma quelque peu excités. Mon copain Jean-Louis également, ça ne faisait aucun doute. Généralement après une séance de ciné, nous échangions nos impressions sur le film, et celui-là, selon ses dires, l'avait bien fait bander lui aussi. Il devait être dans les 22 heures trente ou 23 heures.

Nous retrouvons ma voiture et nous nous installons, moi au volant, Jean-Louis à côté de moi, et Christine à l'arrière. Et en route pour la maison où nous avons prévu une petite bouffe, comme d'habitude, après une séance de ciné.

Nous continuons à parler du film et mon copain et moi nous décrivons les scènes qui nous ont le plus excités. Habituellement, Christine est plutôt réservée sur ce plan là, contrairement à mon copain et moi. Mais là, mon pote et moi, nous la pressons de questions, et elle finit par reconnaître que ça l'a aussi bien excitée, et que ça lui a donné des envies. Son excitation est telle que visiblement ça fait taire ses inhibitions parce que, sans que je lui demande rien, la voilà qui se penche entre les dossiers des deux sièges avant, et qui se remet en riant à me palper le paquet à travers mon jean (à l'époque, à l'arrière des voitures, la ceinture de sécurité n'était pas obligatoire). Surprise de ma part ! Coup d'œil amusé et envieux de mon copain.

Mais la partie ventrale de ma ceinture de sécurité me gêne … et gêne également Christine. Alors je desserre ma ceinture et je lui donne un peu de jeu. Aussitôt, toujours en riant, Christine entreprend de déboutonner mon jean, et de descendre la fermeture éclair de ma braguette. A côté de moi, mon pote n'en perd pas une miette. Mon jean est très serré, comme c'était la mode à l'époque, et Christine a du mal à ouvrir ma braguette. Alors, lâchant le volant d'une main, je l'aide. Me voilà donc avec la main de ma femme dans mon caleçon. Je bande comme un âne, évidemment ! Elle me caresse doucement et elle commence à me masturber. Je m'efforce de garder mon sang froid pour ne pas nous envoyer dans le trottoir ou dans les voitures garées le long. Je lève un peu le pied de l'accélérateur et nous roulons comme ça pendant quelques minutes. Mais je sens que je vais rapidement être au bord de l'éjaculation, et que je risque de perdre le contrôle à la fois de ma queue et de la voiture.

Alors je repousse la main de Christine « Arrête, je vais nous foutre en l'air ! ». Christine proteste, quelque chose du genre « Oh, dommage ! J'ai envie ! », et elle essaie de glisser à nouveau sa main dans mon caleçon..

Qu'est-ce qui me prend, alors ? Je ne sais pas. Peut être mon excitation a-t-elle eu aussi raison de mon inhibition. Toujours est-il que je saisis la main de Christine, et que je la pousse vers le ventre de mon copain. Moment de stupeur de leur part à tous les deux. Est-ce que j'accompagne mon geste d'un « Tripote-le, lui, ce sera moins risqué ». J'avoue que je ne suis pas sûr, mais si ce ne sont pas les termes exacts, c'est l'esprit.

Moment de stupeur, mais Christine laisse sa main là où je l'ai posée. Et elle rit. Elle rit de ce rire où on sent un peu de gêne, mais aussi un peu de "pourquoi pas, après tout !".. Mon pote me regarde, incrédule. Il se demande si je plaisante ou si je suis sérieux. Je lui souris. Il prend ça pour une approbation ou pour un défi, et sans hésiter davantage, il desserre à son tour sa ceinture de sécurité, et, de lui-même, il déboutonne son jean, il descend sa braguette et il abaisse la ceinture de son caleçon. Il n'est pas tellement pris au dépourvu, en fait. Il devait plus ou moins espérer qu'un truc comme ça arrive un jour ou l'autre, et il saute sur l'occasion.

Le voilà la bite à l'air. Il bande, évidemment. Dans la pénombre de l'habitacle, atténuée par intermittence par la lumière des lampadaires, je devine sa queue, pâle et fine, dressée vers le plafond. Christine hésite, elle me regarde, dubitative. Elle se demande, elle aussi, si je suis sérieux. Je lui souris, et:
- Vas-y, tripote-le.

Alors, après une ou deux secondes d'hésitation, de la main gauche, elle effleure la bite de Jean-Louis et elle commence à la caresser.

Putain, j'adore cette situation ! Je suis en train de conduire, et ma femme est en train de tripoter la bite de mon pote assis à côté de moi ! C'est excitant, mais c'est surtout à la fois un plaisir cérébral et comme une fierté. J'ai incité ma femme à donner du plaisir à un autre que moi, et devant moi ! Je vois sa main serrer maintenant délicatement la verge de mon copain et la caresser. Pourquoi elle le fait ? Sur le coup, je me demande si c'est parce que je le lui demande et qu'elle veut me faire plaisir, ou si c'est parce qu'elle en a envie. La voir faire accentue ma propre érection.

Evidemment, ça plaît beaucoup à mon pote, qui se cale bien au fond de son siège et qui se tourne légèrement sur le côté pour faciliter la manipulation à Christine. Et je sens que, finalement, à elle aussi, ça lui plaît beaucoup. Je la connais depuis pas mal de temps et maintenant, je sais décrypter ses attitudes, sa gestuelle, ses réactions physiques. A la façon sensuelle qu'elle a d'appuyer sa poitrine au dossier du siège de mon copain, je sens qu'elle prend du plaisir à le masturber. Par dessus le haut du dossier, elle regarde, comme fascinée, sa main aller et venir sur la queue de Jean-Louis. Dans les coups d'œils qu'elle me lance de temps en temps, je lis qu'elle attend que je lui confirme qu'elle peut vraiment le masturber. Alors je lui souris et je hoche la tête … « C'est bien. Continue ».

Mon copain respire de plus en plus fort, les yeux rivés sur cette main qui le masturbe. Ce n'est pas seulement ce que lui fait Christine qui l'excite à ce point, à mon avis, c'est aussi et surtout qu'elle le fasse devant moi et avec mon assentiment. Je me dis qu'à ce rythme, il ne va pas tarder à jouir. Si rapidement, et comme ça, sur ses cuisses ou sur son ventre, ce serait dommage ! Alors, une fois encore, je ne sais pas ce qui me prend, mais puisqu'on a franchi ce premier pas, tous les trois, je me dis autant aller jusqu'au bout du délire ! Nous sommes arrivés Porte de Vincennes et je viens de repérer un peu plus loin, le long du trottoir, quelques places de stationnement libres. Je ralentis, je m'y arrête, et:
- Hé, mec, tu ne serais pas mieux à l'arrière ?
- Quoi ?
- Tu ne serais pas mieux à l'arrière, avec Christine ?

De nouveau, moment de stupeur. Il me regarde intensément. Christine aussi, qui se demande si je suis sérieux. Mais visiblement, elle n'est pas outrée par la suggestion que je viens de faire à mon copain, et elle continue de le masturber doucement. Dans son regard, je lis que, si elle ne s'attendait pas à ça de ma part, l'idée ne lui déplaît pas, bien au contraire. Ses yeux plantés dans les miens, elle attend, elle espère même, que, cette fois encore, je confirme ce que je viens de suggérer. Alors je lui demande:
- Tu en dis quoi, toi ?

Elle rit … elle rit et elle hoche la tête d'une manière qui veut dire qu'elle aussi trouve que mon pote serait mieux derrière avec elle. Lui, qui n'a pas saisi cet échange de regards entre Christine et moi, demande:
- T'es sérieux ?
- D'après toi … si elle est d'accord, évidemment. Mais je crois qu'elle est d'accord, hein, Christine ?

Pour toute réponse, elle lâche la bite de Jean-Louis, elle se recule au fond de la banquette et elle tapote le siège à côté d'elle. Clairement, elle vient de lui signifier « Viens ! ». Là, je sais déjà exactement ce qui va se passer. Lui ne va certainement pas manquer cette occasion. Et elle, pour qu'elle ait accepté de le masturber, puis qu'elle l'ait invité à la rejoindre, c'est qu'elle est particulièrement excitée, qu'elle a très envie de sexe, et qu'elle est vraiment prête à tout, y compris d'aller jusqu'au bout avec lui, y compris en ma présence. Et telle que je la connais, je sais qu'elle ne fera pas marche arrière, et que si tout ça la conduit à baiser avec Jean-Louis, elle le fera.

Il hésite encore, il doit se demander si c'est du lard ou du cochon. Il la regarde, il me regarde. Alors je lui lance:
- Tu vois bien qu'elle est d'accord. Alors vas-y ! Et tu pourras même la baiser !

Je m'étonne moi-même d'avoir employé cette expression tellement crue. Je regarde Christine. Elle n'est pas choquée par ce que je viens de dire. Elle me sourit et elle hoche la tête … oui, elle est d'accord pour qu'il la baise ! Il a vu et aussi compris la mimique de Christine. Pour lui, c'est de nouveau le déclic. Il déboucle sa ceinture de sécurité et il entreprend de passer à l'arrière de la voiture entre les dossiers des sièges avant. Je déboucle ma ceinture de sécurité et je me tourne à demi sur mon siège. Une fois à l'arrière, Jean-Louis ôte ses chaussures et il descend son jean. Christine ne reste pas passive, elle l'aide fébrilement à ôter complètement son caleçon et son jean, signe qu'elle a hâte de passer à l'action. Un tel empressement de sa part à la fois me sidère et me ravit. Quelque chose s'est débloqué en elle, elle qui est toujours un peu coincée quand il est simplement question de parler cul avec des copains.

A cet instant, on n'en est déjà plus à un simple projet de masturbation ! Après les préliminaires, ils vont sûrement finir par baiser à l'arrière de la voiture ! Ils vont baiser pendant que je conduis. Et ça me plaît ! Ce n'est pas seulement de l'excitation sexuelle, il y a autre chose … comme une satisfaction cérébrale, encore une fois. J'ai le cœur qui bat. Mon pote et ma femme vont certainement baiser, là, derrière moi ! Parce que finalement, c'est ce que je veux, au fond de moi … qu'ils baisent vraiment ! Je n'ai pas envie qu'elle se contente de le branler et qu'il éjacule dans sa main, ou sur la banquette. Je veux qu'il la prenne, je veux qu'il la pénètre, je veux qu'il prenne son plaisir en elle, je veux qu'il jouisse en elle ! Et dans l'état d'excitation où elle semble se trouver, c'est sûr, elle va se donner à lui sans retenue.

Ça y est, mon pote a le cul et la bite à l'air. Il a gardé sa chemise. Il lance:
- On va pas rester là, au bord du trottoir, quand même …
- T'inquiète pas, je vais redémarrer.

Je bouge mon rétroviseur de façon à pouvoir voir un peu ce qui se passe derrière moi quand je conduirai. Ils s'enlacent et après une seconde d'hésitation, ils se roulent une pelle torride. Pendant qu'ils s'embrassent, Christine a repris la bite de Jean-Louis dans sa main, et elle le masturbe. Lui, il a glissé sa main entre les cuisses de Christine, sous sa jupe … enfin pas exactement sous sa jupe, puisque sa jupe est tellement mini qu'elle est remontée en accordéon à l'angle de son ventre et de ses cuisses. Je ne vois pas vraiment, mais je pense qu'il a écarté le fond de sa petite culotte et qu'il est en train de lui tripoter la chatte. Sous l'effet de l'excitation, ils se roulent fiévreusement une pelle. Il a aussi glissé son autre main sous le chemisier de Christine et il lui pétrit la poitrine. C'est bon, c'est parti ! Je me retourne, j'enclenche la première et avant de redémarrer, je leur lance:
- Mettez-vous sur la droite de la banquette. Je veux pouvoir vous voir en conduisant.
Re: Souvenir de jeunesse
Thursday 25 August 2022 18:17

SoloseXe
Travesti, 70 ans, France, Bretagne
Pas la moindre hésitation de la part de Christine et de Jean-Louis. L'idée que je les regarde se tripoter doit leur plaire, alors ils obtempèrent et ils se glissent vers la droite de la banquette. Je règle encore le rétroviseur. Je démarre et on entre lentement dans Vincennes. Je profite de la longue ligne droite de l'avenue de Paris pour tourner la tête brièvement vers l'arrière. Je jubile ! Nous sommes en ville, il y a un peu de circulation, et ma femme et mon pote sont en train de se tripoter à l'arrière de ma voiture ! Je n'ai pas rebouclé ma ceinture de sécurité, j'ai la bite à l'air, moi aussi, et je me pétris le gland tout en conduisant ! Et si on était arrêtés par les flics pour un contrôle ! Ça nous est déjà arrivé, à nous trois, à d'autres occasions. Maintenant, nous voilà dans le bois de Vincennes. Là aussi, je peux tourner la tête et les regarder. Ils sont de nouveau bouche contre bouche et leurs mains s'activent, elle sur sa queue à lui, qu'elle masturbe lentement, et lui dans sa petite culotte et sur sa poitrine.

Je réalise que nous approchons de l'entrée de l'autoroute A4 à Joinville. A l'époque, cette sortie n'était pas encore fermée. En sortant du cinéma, nous étions partis pour rentrer à la maison et nous faire une petite bouffe comme d'habitude après un film. Sur le coup, l'idée de promener sur le chemin de la maison ma femme et mon copain en train de se tripoter dans ma voiture me plaisait bien. Mais nous ne sommes plus qu'à un quart d'heure ou vingt minutes de chez nous, et ils devraient éventuellement continuer dans notre lit ou sur le canapé, avec le risque qu'un retour dans notre réalité quotidienne ne les refroidisse. Alors vu l'évolution de la situation, je préfère que ça continue dans la voiture. C'est beaucoup plus excitant. Je décide donc de m'engager sur l'autoroute. En plus, les longues lignes droites de l'autoroute me permettront de me retourner plus régulièrement en toute sécurité et de mieux profiter du spectacle.

Voilà, nous y sommes. A mon avis, les deux derrière moi ont sans doute vu que je prenais l'autoroute, mais occupés comme ils le sont, ni l'un ni l'autre ne fait de commentaire ou ne pose de question. Peut-être qu'ils ont intérieurement tenu le même raisonnement que moi, et que l'autoroute leur paraît préférable à un retour à la maison. A cet endroit, qui est le vrai début de l'autoroute à la sortie de Paris, la vitesse est limitée à 90. Je roule tranquillement sur la voie de droite.

« Enlève ta culotte. ». C'est Jean-Louis qui vient de dire ça. Je jette un coup d'œil. Aussitôt, Christine s'exécute fébrilement. Elle se tortille sur la banquette, et Jean-Louis l'aide à glisser la culotte sur ses cuisses puis sur ses chevilles. Et dans le même élan, elle dégrafe sa minijupe qui rejoint la petite culotte au pied de la banquette. C'est bon ! La voilà le cul et la chatte à l'air ! Ils sont maintenant tous les deux le sexe à l'air ! Plus aucun obstacle potentiel entre sa queue à lui et sa chatte à elle ! Certes, c'est symbolique, mais c'est un grand pas de plus vers un accouplement. Et ça accentue mon excitation.

Christine s'apprête à lui redonner sa bouche, mais il a entrepris de déboutonner son chemisier depuis le bas. Elle l'aide en s'attaquant aux boutons du haut. Je vois tout ça par épisodes, quand je suis en mesure de me retourner sans risquer de nous foutre dans le rail de sécurité. Il faut quand même que je surveille la route. La poitrine de Christine apparaît. Elle a une poitrine magnifique, ma femme ! Jean-Louis s'est penché et il lui bouffe un sein tout en lui pétrissant l'autre. Elle, de sa main gauche, elle lui tient la tête et elle le regarde faire avec cet air attendri que je lui connais bien. Elle me jette un coup d'œil … et elle me tend sa main au-dessus de mon dossier. Je la prends et j'y pose mes lèvres. Visiblement, elle est heureuse de ce qui se passe.

Jean-Louis se redresse, et il pousse Christine en arrière. Elle se laisse tomber sur la banquette et je ne la vois plus. Ou plutôt, je ne vois plus d'elle que son ventre et ses jambes. Jean-Louis lui écarte les cuisses et il se penche. Il veut lui bouffer la chatte ! Hhhmmmm, très bien, ça me plaît ! Mais, même avec son cul contre la portière, il est trop grand, et au mieux, il peut poser sa bouche sur son nombril. Alors il s'agenouille dans l'étroit espace entre les sièges avant et la banquette. D'elle même, Christine pose son pied gauche par terre, elle remonte sa cuisse droite et elle pose son pied sur le dessus du dossier de la banquette. La voilà les cuisses grandes ouvertes et le sexe offert ! Ça y est, mon pote va bouffer la chatte de ma femme ! Il va lui mettre sa langue dans le vagin ! Mais avant, je le vois lui écarter délicatement les petites lèvres, et contempler sa vulve. A son tour, il me jette un coup d'œil, puis il passe lentement sa langue sur le clitoris de Christine avant de se redresser. Ça se passe juste là, au milieu de la banquette, et je vois ça par intermittence entre les dossiers des sièges avant.

Putain, c'est à la fois magnifique et tellement excitant ! Quand nous roulions encore en ville, je m'étais mis à me tripoter doucement la bite. Mais j'ai arrêté parce que j'étais déjà au bord de l'éjaculation. Ça s'était un peu calmé, mais là, de nouveau, je sais que si je me touche la queue, j'explose ! Jean-Louis a commencé à enfoncer un peu ses doigts dans le sexe de Christine, et elle a aussitôt réagi avec un petit gémissement de plaisir. Ça y est, mon pote est déjà un peu dans ma femme ! Ça me plaît, et j'ai hâte que ce soit son sexe en érection qu'il enfonce dans son sexe à elle !

- Putain, t'es déjà toute mouillée !

Jean-Louis vient de commenter. Christine:
- Ben oui. Ça t'étonne ?
- T'as envie à ce point ?
- Oui !
- Moi aussi. Y'a longtemps que j'ai envie de toi.
- Je sais.
- Et toi, y'a longtemps que tu as envie de moi ?
- Non. C'est ce soir, à cause de ce film. Il m'a excitée. Et que Marin veuille que tu me baises, ça m'excite encore plus.
- Alors, devant ton homme, ça te gêne pas ?
- Non. C'est lui qui veut.

Elle a tendu son bras et posé ses doigts sur son propre sexe et elle caresse les doigts de Jean-Louis qui ont commencé à l'explorer. Jean-Louis:
- Et toi, tu veux … tu veux quoi … tu veux tout ?
- Oui.
- Tu veux que je te baise ?
- Oui. J'ai envie que tu me baises et que tu jouisses dans mon ventre.

Jean-Louis se penche, et il pose sa bouche sur le sexe de Christine. Je vois son ventre réagir, se creuser, se contracter, elle gémit et elle pose sa main sur la tête de Jean-Louis. Je vois qu'en plus de lui téter le clitoris, il a enfoncé le pouce de sa main droite dans son vagin. Elle halète, elle se cambre sur la banquette. Les puissants lampadaires de l'autoroute éclairent la scène par intermittence.

Rien qu'un instant, j'ai envisagé de sortir de l'autoroute pour chercher un coin tranquille dans la campagne où me garer pour les regarder faire l'amour, mais je préfère continuer à rouler. Ça a quelque chose de plus … de plus … excitant. Il y a encore pas mal de circulation sur cette autoroute et ça me plaît que des automobilistes passent à côté de nous, nous dépassent, sans se douter qu'à l'arrière de ma voiture, mon pote est en train de donner du plaisir à ma femme, et que, dans pas longtemps, il va certainement carrément la baiser !

Nous sommes entrés dans le long tunnel de Champigny, éclairé comme en plein jour. Je sais qu'une fois passé le tunnel, il y aura encore quelques kilomètres éclairés, puis que ce sera la nuit noire, sauf au niveau des sorties. Il faudra alors que j'allume le plafonnier au-dessus d'eux si je veux encore les voir.

J'adore voir ma femme avec les cuisses grandes ouvertes et son sexe offert à la caresse buccale d'un autre homme. En moi-même, je m'adresse à Jean-Louis: « Mon pote, je te prête ma femelle, alors baise-la bien ! ».

Son cunnilingus dure longtemps et fait beaucoup d'effet à Christine. Je ne le vois pas, mais aux bruits qu'elle fait sur la banquette, je devine qu'affolée par ce que Jean-Louis lui fait, elle oscille de tout son corps de droite à gauche en gémissant. Je ne me retourne pas constamment, évidemment, mais de coup d'œil en coup d'œil, je me rends bien compte que, tantôt Jean-Louis lui tète le clitoris et le presse entre ses lèvres, tantôt il lui enfonce sa langue dans le vagin. De temps à autre, son plaisir est si intense que Christine se redresse convulsivement, en serrant dans ses mains le crâne de son amant, avant de retomber en arrière. Je la connais, je sais que quand son plaisir en est à ce point, elle se mord la lèvre inférieure pour ne pas crier. Je sais aussi qu'à ce stade de plaisir et d'excitation, elle a une envie folle d'avoir un sexe en elle.

Ça y est, nous sommes sortis de la zone éclairée de l'autoroute. Je tends le bras et j'allume le plafonnier au-dessus d'eux. Ce n'est pas terrible, la lumière est faible et je ne vois pas grand chose. De plus, après l'éclairage assez intense du tableau de bord, il faut quelques secondes d'adaptation à mes yeux pour s'habituer à la pénombre de l'arrière de la voiture. Heureusement, il me revient en mémoire que, sur cette voiture, l'intensité de l'éclairage du tableau de bord est réglable. Je cherche pendant quelques secondes, et je finis par retrouver quelle manette il faut manipuler. Voilà, c'est un peu mieux.

J'imagine qu'à bouffer comme ça la chatte de Christine, à l'entendre et à la sentir réagir comme ça, Jean-Louis est aussi dans un état d'excitation absolue. Ça ne peut qu'aboutir et se conclure par leur accouplement. Maintenant, son pouce toujours enfoncé dans le vagin de Christine, Jean-Louis lui lèche, lui embrasse et lui caresse l'intérieur des cuisses. Soudain, Christine repousse la tête de Jean-Louis et se redresse:
- Arrête ! Maintenant, c'est à moi ! Je veux te sucer !

Je ne l'ai quand même jamais vue dans un tel état ! Avec moi, elle n'a jamais été aussi cash, aussi crue ! Ça pourrait me choquer, je pourrais être un peu jaloux, mais non. Au contraire. Tout ça semble avoir débloqué quelque chose en elle … une sorte de furie sexuelle. Aussitôt, Jean-Louis sort de l'espace exigu entre les sièges et s'assied sur la banquette, jambes écartées. Christine me regarde, elle me sourit, elle s'agenouille sur la banquette et elle se penche sur le ventre de Jean-Louis. Voilà, elle a sa queue dans sa bouche et elle commence à monter et à descendre. Ma femme suce la bite de mon pote ! Dans un sens, j'aimerais le voir lui éjaculer dans la bouche, mais au fond de moi, je préférerais de beaucoup qu'il jouisse dans son ventre. Sa main gauche glissée entre les cuisses de mon pote, elle lui tripote les couilles. Le cul en l'air, elle semble prise d'une véritable frénésie à lui tailler cette pipe.

Jean-Louis me regarde. Il me sourit:
- Ça te plaît de me voir … euh … comme ça avec ta femme ?
- Beaucoup. Toi aussi ?
- Ouais.
- Elle est bonne, hein ?
- Oh ouais !
- Tiens-la par la nuque pendant qu'elle te suce.

Il pose sa main sur la nuque de Christine et il la regarde le sucer, visiblement étonné de la voir aussi active et délurée.
- Depuis le temps que t'avais envie de te la faire, ma femme, hein ! Sa chatte, tu la trouves comment ?
- Comment ça ?
- Au goût.
- Ah ouais ! Super bonne !
- Moi aussi, j'adore le goût de sa chatte.
- Ouais, c'est vraiment … et alors, qu'est-ce qu'elle mouille !
- C'est qu'elle est super excitée. Elle a sûrement très envie de se faire baiser … et hâte que tu la baises. D'ailleurs, moi aussi, j'ai hâte que tu la baises.

Quand je me retourne à nouveau, je m'aperçois que Christine a ôté sa main gauche d'entre les cuisses de Jean-Louis et que son bras est maintenant coincé entre son propre ventre et sa cuisse. A mon avis, elle est en train de se masturber. D'ailleurs, on entend une sorte de plainte sortir de sa gorge … entre le gémissement et le ronronnement. Jean-Louis:
- T'es vraiment sûr ?
- De quoi ?
- Qu'elle a envie et hâte que je la baise …
- Evidemment. Elle ne t'aurait pas invité à la rejoindre à l'arrière, elle n'aurait pas ôté aussi facilement sa petite culotte, elle ne t'aurait pas masturbé et sucé comme ça. Et puis tu lui as bien bouffé la chatte. Comment elle pourrait ne pas avoir envie ?
- Ouais. Mais, toi aussi, tu as hâte ?
- Ouais. J'ai envie de voir ta queue dans sa chatte, savoir que tu es dans son ventre, au fond de son ventre. Mais surtout, il ne faudra pas te retirer quand tu jouiras. T'as entendu ? Elle veut que tu éjacules dans son ventre.
- D'accord. Et toi ?
- Moi aussi, je veux que tu éjacules dans son ventre. Et je la baiserai après toi.

A sa façon de bouger, je sens que Christine prend beaucoup de plaisir à lui tailler une pipe. Et je suis sûr que notre conversation à Jean-Louis et moi n'est pas faite pour lui déplaire. Elle prend son temps, elle fait durer, elle savoure. De temps en temps, elle se redresse et elle reprend son souffle tout en continuant de masturber Jean-Louis. Elle me regarde, elle me sourit.

- Ça te choque, notre conversation, à Jean-Louis et moi ?

Elle secoue vigoureusement sa tête:
- Noooon !
- Ça t'excite ?
- Ouiiiii ! Et toi, t'es content qu'on fasse ça, lui et moi ?
- Oui, beaucoup.

Elle s'apprête à reprendre sa fellation mais Jean-Louis l'arrête:
- Attends ! Maintenant, je … je vais te la mettre, ma bite.
- Comment ? Dans quelle position ?
- Retourne toi. Mets toi à genoux sur la banquette. Je vais te prendre en levrette. Tu aimes ça ?
- Oui.

Tous deux changent de position. Je ne vois plus de Christine que ses reins, son cul et ses jambes. Vu l'angle que fait son corps, elle doit avoir posé sa tête sur la banquette derrière moi, sans doute sur ses avant-bras croisés. Elle a écarté les genoux autant que possible, vu l'étroitesse du siège. C'est magnifique ! Elle s'offre à lui dans la position qui, pour moi, représente l'abandon de soi à l'autre. C'est un peu « Fais moi ce que tu veux, je suis à toi ! ». Et maintenant, lui, mon pote, il va la prendre et la posséder ! Parce que, à mes yeux, cette position, du point de vue de l'homme, c'est celle dans laquelle il possède vraiment la femme.

Le voilà qui se place derrière elle, également à genoux. Mais le bord de la banquette s'affaisse sous son poids et il manque de basculer sur le côté et d'entraîner Christine. Il se rétablit, il pose son pied droit par terre, et, tenant fermement sa verge, sa main libre posée sur les reins de Christine, il approche sa queue de son cul. J'ai ralenti. On roule à 70 sur la voie de droite. Des voitures nous dépassent à grande vitesse. On est sur la portion limitée à 110. J'espère seulement qu'un barjot ne va pas nous arriver derrière à cette vitesse. Alors je pense à mettre les feux de détresse. Comme ça, non seulement on nous verra mieux, mais ça expliquera pourquoi on roule si lentement.

Je jette des coups d'œil de plus en plus fréquents à l'arrière. Je veux voir leur coït ! Il a lâché sa queue ! Elle a poussé un petit gémissement ! C'est qu'il est déjà dans elle ! Et je vois le ventre de mon pote venir se plaquer contre les fesses de ma femme ! Il est dans elle ! Mais voilà, dans cette position, je ne vois pas sa queue entrer dans la chatte de Christine ! C'est frustrant !

Il a posé ses mains à l'angle des cuisses et du ventre de Christine, et il va et vient lentement. Ça y est, il est en train de la baiser ! Je ne vois pas vraiment, mais je trouve ça génial ! Et je suis heureux pour eux ! Oui, ça peut paraître dingue, ou pervers, ou je ne sais quoi, mais je suis heureux pour Christine parce qu'elle assouvit une envie. Je ne sais pas exactement comment elle vit tout cela au fond d'elle-même, mais ce qui est sûr, c'est que, ce soir, elle avait une furieuse envie de ça. Est-ce que ma présence pendant qu'elle copule avec Jean-Louis ajoute à son plaisir ? J'en ai bien l'impression. Et je suis heureux pour lui. Oui, ça fait longtemps qu'il rêve de la baiser. Quand je les ai présentés l'un à l'autre, il y a des années, j'ai tout de suite vu qu'il flashait sur elle. Sur son cul, en particulier. Comme moi, d'ailleurs, quand j'ai fait sa connaissance au lycée … un cul magnifique qui faisait baver d'envie tous les mecs de notre classe ! Et Jean-Claude ne s'est pas privé de me faire savoir sans filtre quel effet elle lui faisait. Il ne s'est pas privé non plus de lui faire des compliments plus ou moins directs. Il va avoir assouvi son désir. Est-ce que lui aussi ça l'excite davantage que je sois là ? Sans doute.
Re: Souvenir de jeunesse
Friday 26 August 2022 10:03

jpol
Homme, 57 ans, France, Lorraine
SoloseXe, voilà deux récits bien excitants. En lisant, je me suis surpris a imaginer la situation et cela m' a bien excité.
Re: Souvenir de jeunesse
Friday 26 August 2022 15:19

SoloseXe
Travesti, 70 ans, France, Bretagne
Je reste frustré. Alors:
- Ça ne va pas, tous les deux. Comme ça, je ne vois pas. Je ne vois pas vraiment ce qui se passe. Je préférerais que vous baisiez dans une autre position. Jean-Louis, j'ai envie de voir ta queue entrer et sortir de Christine.

Il ne répond pas. Je me doute bien que je l'emmerde. Mais il n'y a pas que leur plaisir à eux !

Et comme un signe, je vois, au loin, les lumières de la station Total (je ne suis pas sûr qu'à cette époque, c'était déjà une station Total. Peut-être Elf). Je vais m'y engager. On verra ce qu'on peut y faire selon le monde qu'il y aura. Putain, ça fait quand même pas loin de quarante ou quarante cinq minutes qu'ils sont en train de se chauffer, derrière. Je ralentis encore et j'entre sur la piste d'entrée de la station service. Jean-Louis réagit:
- Qu'est-ce que tu fous, mec ?
- Je jette un coup d'œil. Si il n'y a pas trop de monde, on va s'arrêter.
- T'es con …
- Ne t'inquiètes pas. Si il y a trop de monde, on s'en va.

Il a suspendu son va et vient, et dans mon rétro, je le vois qui scrute l'endroit. Evidemment, devant la boutique et près des pompes, c'est très éclairé par d'immenses lampadaires. Il y a seulement une voiture garée devant la boutique. L'automobiliste doit être en train de payer. Je me dirige sur le côté de la boutique. Je sais que derrière, il y a un parking pour les poids lourds. Dans mon rétro, je vois que Jean-Louis n'est plus en position derrière Christine. Je me retourne. Il est assis, l'air vaguement inquiet. Christine a aussi changé de position. Elle est aussi assise tout contre lui, et, nonchalamment, elle lui tripote la bite tout en scrutant le parking. Elle sourit. Elle est moins inquiète que lui.

Sur le parking des poids lourds (à l'époque, il est beaucoup moins vaste qu'aujourd'hui), il y a aussi de grands lampadaires et tout est baigné d'une puissante lumière orange. On y voit presque comme en plein jour. Seulement deux semi-remorques sont garés là, les rideaux tirés devant le pare-brise et les vitres de portières. Tout doucement, je vais jusqu'au fond du parking et je me gare de façon que l'intérieur de l'habitacle soit éclairé par la lumière des lampadaires. Je coupe le moteur et je me retourne complètement, cette fois. Christine est penchée sur le ventre de Jean-Louis et elle a recommencé à le sucer. Pour elle, c'est clair, on continue ici. Lui, visiblement moins inquiet, les jambes largement écartées, lui caresse la tête. A l'intérieur de la voiture, on voit presque comme en plein jour !

Ah oui ! Comme ça, je vois parfaitement la bouche de ma femme monter et descendre sur la verge luisante de salive de mon pote. Il me regarde en souriant. Et Christine, sans cesser de lui sucer la queue, tourne tant bien que mal les yeux vers moi. Ses yeux brillent, pétillent de plaisir.

Alors, en me tortillant comme je peux sur mon siège, je me débarrasse de mes tennis et j'ôte mon jean et mon caleçon. Je bande, évidemment. Et sans la moindre gêne, je commence à me masturber en les regardant. Tout à l'heure, j'étais tout prêt de l'éjaculation, mais c'est passé. Maintenant, je bande, mais je sens que je peux tenir un moment. Ça fait sourire Jean-Louis de me voir me masturber en les regardant. Et Christine ouvre de grands yeux amusés. Elle tend la main vers moi et effleure ma bite. Je me doute des idées que la situation suscite en elle. Elle doit penser à une partie à trois, à se donner à nous deux en même temps, à se faire investir le sexe par l'un et la bouche par l'autre. Mais moi, pour le moment, ce n'est pas de ça que j'ai envie.

Alors je saisis sa main et je la pousse vers l'entrejambe de Jean-Louis:
- Vas-y, suce-le. T'occupe pas de moi, ça me plaît, de vous regarder.

Elle n'insiste pas et glisse ses doigts entre les cuisses de mon pote et elle se remet à lui palper les couilles. Moi, je me branle. Ce qu'elle est belle, ma femme, quand elle suce mon pote ! Lui aussi, l'envie de jouir s'est sans doute éloignée. Il tient vachement bien le coup. Et je crois que la situation lui plaît beaucoup. Il se fait sucer par ma femme devant moi, et moi, je me branle à les regarder ! Plus complaisant que ça, c'est difficile.

Tout de même, au bout d'un moment, je tends la main, et je la pose sur la nuque de Christine. J'accompagne donc le mouvement de sa tête qui monte et descend sur la queue de mon pote. Etrange sensation ! Très agréable ! De temps en temps, elle abaisse vraiment sa tête à fond, et elle enfonce certainement cette queue jusqu'au fond de sa gorge. Elle reste comme ça quelques secondes. Ça semble faire beaucoup d'effet à Jean-Louis. Puis elle remonte lentement, elle sort la queue de sa bouche et elle reprend son souffle sans cesser de branler doucement mon pote. A son tour, il la prend par la nuque, sa main sur ma main, il l'attire à lui, et il plaque sa bouche sur la sienne. Elle accepte, visiblement avec plaisir, et ils s'embrassent avec ardeur … longuement.

Quand ils se séparent, elle se tourne vers moi et me regarde comme si elle attendait mon approbation. Je lui souris. Elle me tend ses lèvres. Rapide baiser. Et elle se penche à nouveau sur le ventre de Jean-Louis. Bizarrement, il a un peu débandé. Sa queue, moins rectiligne, sans doute un peu molle, penche un peu sur le côté. Christine la redresse délicatement et se met à jouer avec sa langue et ses lèvres sur le gland. Elle le suce, elle le lèche comme elle ferait avec une glace en cornet, elle le presse entre ses lèvres puis elle le regarde se regonfler de sang. Un peu de fluide visqueux d'excitation perle à l'entrée de son méat. Des doigts, elle joue un peu avec, elle l'étire, elle l'étale autour du gland, puis elle l'essuie d'une coup de langue. Et elle se redresse, elle me regarde, elle regarde Jean-Louis. J'ai l'impression qu'elle en a un peu assez de ce jeu de bouche et de bite.

- C'est maintenant.

Elle vient de dire ça sur un ton décidé, tout en branlant lentement Jean-Louis, et elle nous regarde tour à tour, lui et moi, comme si elle attendait que nous réagissions. Puis elle se tourne résolument vers lui:
- C'est maintenant. J'ai envie que tu me baises maintenant.

Je l'avais senti. Je la connais tellement bien, ma petite femme ! Jean-Louis se redresse, un peu étonné. Et même un peu embarrassé. Elle le met au pied du mur. Tout à l'heure, parler de la baiser, c'était très bien, ça lui allait, à mon pote, il trouvait ça très excitant, mais maintenant, il faut passer à l'acte, et devant moi, en plus. A sa tête, j'ai l'impression que pour lui, baiser Christine est bien plus sérieux que de lui donner sa bite à sucer. Il me regarde comme si il attendait que je vienne à son aide. Comment ? En disant « Ça suffit, on arrête là » ? Certainement pas !

Mais Christine n'attend pas mon feu vert et encore moins mon veto. Elle me connaît, elle sait que si je les ai laissés aller jusque là, c'est que je n'ai pas l'intention de les arrêter. Elle pivote sur ses genoux et elle enfourche les cuisses de Jean-Louis. La voilà à genoux à califourchon au-dessus de lui. Ça y est, ils vont baiser ! Ça me provoque comme une décharge dans tout le sexe ! Maintenant, elle attend qu'il bouge parce que, tel qu'il est assis au fond de la banquette, sa queue est trop loin de sa chatte pour qu'elle puisse s'empaler dessus.

- Allez, glisse-toi un peu sous moi !

Elle s'impatiente, agacée par son manque de réactivité. Alors il obéit en me lançant un regard gêné. Je l'encourage:
- Ouais, vas-y, mec !

Il glisse vers l'avant. Christine le regarde faire, et dès qu'elle juge sa position correcte, elle empoigne le sexe de Jean-Louis, et elle le guide vers son propre sexe en se laissant descendre.

Je suis fasciné par le spectacle. Ma femme, ma chérie est en train de s'enfiler la queue de mon pote dans sa chatte ! Ça me fait bander de plus en plus dur, et je suis obligé de lâcher ma bite pour ne pas jouir.

Dès que Jean-Louis commence à la pénétrer, Christine a une réaction de tout son corps … elle casse sa nuque en arrière et elle pousse un petit « Haa ! » avant de gémir doucement, puis de plaquer la tête de Jean-Louis contre sa poitrine. Elle finit de descendre. Il doit être entièrement en elle, maintenant. Ça y est, ils sont vraiment amants, accouplés, sexe dans sexe, l'homme dans la femme, le mâle dans la femelle. Ça m'émeut. Oui, c'est bizarre, mais ça m'émeut en plus de me faire bander comme un âne ! Elle reste comme ça, immobile sur lui pendant un long moment. Non, pas vraiment immobile, en fait. A d'imperceptibles mouvements de ses fesses et de ses reins, je réalise qu'elle doit être en train de goûter les sensations de son vagin avec ce sexe en érection logé en elle. Lui, ses craintes ou ses scrupules l'ont abandonné, et il se laisse aller au plaisir de ce coït avec Christine, au plaisir d'être en elle, de la posséder. Il a passé ses mains sous son chemisier et il l'étreint en lui caressant le dos et les reins. Et en même temps, comme son visage est maintenant à la hauteur de la poitrine de Christine, il lui lèche et il lui suce les seins.

Putain, c'est beau ! Ils font l'amour ! Ma femme et mon copain font l'amour. Je suis excité comme je l'ai rarement été. Je bande tellement que j'en ai mal dans toute la zone entre mon anus et mes couilles !

Voilà, tout en lui serrant la tête contre sa poitrine, elle commence à remonter lentement. Elle halète et laisse échapper un petit gémissement aigu. Elle prend du plaisir ! Et elle redescend, cette fois avec un long «Hooooooo ! » modulé. Et elle remonte, plus vite, cette fois. Et elle redescend. Son va et vient est un peu plus rapide. Le visage enfoui dans ses seins, Jean-Louis grogne sourdement de plaisir. Tous deux s'abandonnent maintenant sans retenue au plaisir de cette étreinte. Ma présence ne les gêne absolument pas. Au contraire, peut-être. Ils baisent, et moi, je fais le voyeur à quelques centimètres d'eux.

Et il y a ces bruits, ces bruits de l'amour. Le bruit des fesses de Christine qui retombent sur les cuisses de Jean-Louis. Et le bruit un peu mouillé, à peine perceptible, de la verge de Jean-Louis qui va et vient dans le vagin humide de Christine. Et les bruits de la bouche de Jean-Louis qui suce, qui tète les seins de Christine. Et il y a ce bruit, comme un bourdonnement sourd, comme un ronronnement, qui monte du ventre de Christine. J'ai envie de la toucher, ma femme, pendant qu'elle fait l'amour avec Jean-Louis, de poser mes mains sur ses reins, sur ses fesses, sur son dos, sur ses cuisses, mais je m'abstiens. J'ai peur que ça trouble cet instant, que ça la déconcentre. Je dois la laisser à son plaisir.

C'est Jean-Louis qui jouit le premier. Il a saisi la taille de Christine à deux mains, et en la maintenant plaquée sur lui, il arrête son va et vient. Je l'entends râler et haleter en même temps. Il est en train d'éjaculer dans ma femme ! Il est en train de la féconder ! Ma queue se raidit toute seul un peu plus. Je suis au bord d'éjaculer à mon tour. Christine a poussé comme un petit cri de surprise. A mon avis, elle a senti Jean-Louis jouir en elle. Elle descend sa main entre ses cuisses. Je vois son avant-bras bouger en rythme. Elle se masturbe. Elle se finit. Ça ne prend que quelques secondes, et à son tour, elle jouit avec un long gémissement.

C'est fait, ils ont baisé. Et ils ont pris du plaisir, il n'y a aucun doute. Moi, toujours au bord de jouir à mon tour, je presse la base de ma queue pour m'empêcher d'éjaculer. C'est légèrement douloureux, mais c'est efficace. Je sens que ça se calme.

Christine s'est affalée contre Jean-Louis qui reste immobile, sa tronche toujours enfouie dans la poitrine de ma femme.

Christine se redresse, elle se tourne vers moi, toute souriante, et, à moitié tordue, elle me tend les bras. Je m'approche et nous nous embrassons. Longuement. Ses mains derrière ma tête. Quand nous nous décollons, elle se redresse sur ses genoux. Je vois la queue de Jean-Louis retomber mollement sur sa cuisse. Christine enjambe les cuisses de son amant et elle se baisse pour ramasser sa culotte au pied de la banquette. Elle se tourne vers Jean-Louis:
- Ça va, toi ?
- Ah la la ! Oui !

Elle me sourit, et sans aucune gêne, elle s'essuie la chatte avec sa culotte qu'elle laisse ensuite retomber par terre. Puis elle s'assied sur la banquette. Elle me sourit encore:
- Tu as dit que tu allais aussi me baiser.
Re: Souvenir de jeunesse
Saturday 27 August 2022 10:52

SoloseXe
Travesti, 70 ans, France, Bretagne
Ah, Christine ! Elle utilise maintenant ce terme, "baiser", avec tellement de naturel, alors que jusqu'à présent, elle ne l'employait pas et elle n'aimait pas trop que je l'emploie.

Je lui caresse les cuisses. Elle les écarte largement, très impudique.

- Oui, je vais aussi te baiser, mais pas ici. J'ai envie de te baiser sur le capot de la voiture. Alors pas ici.
- D'accord.
- Je connais un endroit pas très loin où on sera tranquilles.
- Bon.

Je crois qu'elle attend qu'on y aille. Je demande:
- Tu es prêt, Jean-Louis ? On peut y aller ?
- Ouais, ouais. Je remets mon jean et j'arrive.

Christine:
- Ah non. C'est moi qui monte devant.

Christine me fait signe de me pousser et elle entreprend de passer entre les dossiers des sièges de devant. Je reprends ma place au volant et elle débarrasse le siège passager de mon jean et de mon caleçon, et elle s'assied à côté de moi.

- On y va comme ça ? Tu ne te rhabilles pas ?
- Non. Je reste comme ça.

Elle me sourit. Elle n'a plus que son chemisier sur elle, et encore, entièrement déboutonné. D'accord. Moi, j'avais prévu de remettre au moins mon jean, mais puisqu'elle reste à poil, je fais pareil. Je ne porte plus que mon T-shirt. J'ai presque complètement débandé. Je démarre, et en route. Christine tend le bras et elle pose sa main sur ma cuisse. Elle me regarde avec les yeux brillants. Elle est contente de sa soirée, même si elle n'est pas terminée.

Nous sortons lentement du parking poids lourds puis de l'aire de services et je m'engage sur l'autoroute. C'est très agréable de rouler comme ça, la bite à l'air, avec Christine presque complètement à poil à côté de moi.

Je prends la première sortie. A l'époque, la sortie qui conduit aujourd'hui au parc Disney n'existe pas. Je sais exactement où je vais. C'est ce qui reste d'une ancienne petite route de campagne qui a été coupée par la construction de l'autoroute. Il reste une portion d'une cinquantaine de mètres qui aboutit contre le grillage de l'autoroute. C'est encore praticable en voiture, même si l'herbe commence à pousser au milieu de la chaussée. J'y suis déjà venu plusieurs fois tout seul. A l'époque, je travaille dans une grande société et, de temps en temps, le soir, dans les bureaux, il y a des pots avec des collègues, et parfois même, on dîner au restau. Christine n'aime pas venir. J'y vais seul et en fin de soirée, avant de rentrer à la maison, je viens jusque sur ce petit bout de route pour me branler en regardant passer les voitures sur l'autoroute.

Nous y sommes en à peine cinq minutes. Je vais jusqu'au bout et je m'arrête un mètre avant le grillage. Christine regarde, très surprise:
- Tu connais cet endroit ?
- Oui.
- Ah bon.
- Je t'expliquerai. Allez, on descend.

Elle attrape ses sandales qui sont restées au pied de la banquette, elle les enfile et elle descend. Nous voilà dehors, tous les deux le cul à l'air. Christine s'approche du grillage et elle regarde passer les quelques voitures qui circulent encore à cette heure tardive.

Je me colle derrière elle et je l'enlace. Il fait un peu frais, mais ça va. Je la sens réceptive. Elle veut encore du sexe. D'avoir joui ne l'a pas totalement calmée. D'ailleurs, elle passe sa main derrière elle, et elle commence à me tripoter la bite. Et de l'autre main, elle attire la mienne vers son sexe. Elle est encore humide et sous mon doigt, je sens son bouton encore légèrement gonflé. Elle se retourne, elle reprend ma bite dans sa main. Je recommence à bander. Elle me donne sa bouche et nous nous embrassons fiévreusement.

Quand nous nous séparons, elle demande:
- Ça t'a plu, de nous regarder baiser, avec Jean-Louis ?
- Oui, beaucoup.
- Ça t'a excité ?
- Oui.
- Moi aussi. Que ce soit toi qui nous y pousses et que tu nous regardes, ça m'a plu.
- Tu auras envie de recommencer ?
- Je ne sais pas. Là, c'était les circonstances, et ce film. Ça dépendra si les circonstances s'y prêtent, et si quelque chose m'a bien excitée avant.
- Tu aurais envie qu'on te baise tous les deux ensemble, avec Jean-Louis ?
- Je ne sais pas. Pour le moment, j'ai envie que tu me baises, toi.

Elle s'accroupit et elle se met à me sucer. Sa fellation et l'endroit où nous sommes, avec ces voitures et ces camions qui passent devant nous, tout ça me fait durcir rapidement. D'autant que, même si j'avais débandé, dans ma tête, je suis toujours sous l'effet de la scène à laquelle j'ai assisté tout à l'heure. Des images d'elle et de Jean-Louis me reviennent en mémoire.

C'est Christine qui décide que le moment est venu. Elle a dû trouver que j'étais assez raide. Elle se relève, elle me prend pas la main, elle m'entraîne près de la voiture et elle demande:
- Tu veux comment ? Par derrière, ou sur le dos sur le capot ?
- Sur le dos.

D'elle-même, elle se hisse sur le capot en prenant appui sur le pare-chocs, et elle s'étend sur le dos en relevant et en écartant les cuisses. J'approche, je me penche et je plaque ma bouche contre sa vulve. Je retrouve le goût de son sexe, ce goût qui me plaît tellement. Même si elle s'est essuyée avec sa petite culotte tout à l'heure, il doit rester quelques traces du sperme de Jean-Louis dans sa chatte. Si il a joui tout au fond de son vagin, tout n'est peut-être pas redescendu et sorti quand ils se sont décollés l'un de l'autre. Je trouve ça très excitant de lécher le sexe de ma femme où la bite de mon copain se trouvait encore il y a quelques minutes, et peut-être même de lécher un peu de son sperme. Christine a posé ses mains sur ma tête, et elle redresse le haut de son torse pour me regarder. Que peut-elle voir dans cette nuit ?

Je lui lèche le sexe et je presse son clitoris entre mes lèvres. Ça la fait réagir et haleter. Elle est encore excitée. Maintenant, je vais la baiser. Pas lui faire l'amour. Non, la baiser vite fait bien fait. Je me redresse. Mes yeux se sont habitués à la pénombre et je la vois parfaitement sur ce capot tout blanc. Elle est un peu trop remontée sur le capot. Je la prends par les hanches, je la soulève et je l'attire vers moi. Je la pénètre directement. Elle est encore suffisamment lubrifiée et je m'enfonce en elle d'un seul coup. Je maintiens ses cuisses écartées et je commence à aller et venir rapidement. Je n'ai pas l'intention de faire durer. Je veux jouir, c'est tout.

La portière arrière s'ouvre et je vois Jean-Louis sortir. Il s'approche de nous, il s'appuie du ventre contre l'aile de la voiture et il nous regarde. C'est à mon tour de prendre du plaisir. Je souffle par la bouche comme un soufflet de forge. Christine a dû sentir que j'allais jouir rapidement, et elle a posé sa main sur son pubis et elle se masturbe frénétiquement.

Ça y est, j'explose ! Ce qui m'a achevé, c'est que j'ai pensé que c'était vraiment le pied de passer dans Christine après mon pote ! C'est un gros orgasme ! Violent. Christine jouit aussi. Un peu à retardement par rapport à moi. Mais c'est bien quand même de finir ensemble.

Je me couche sur elle et nous reprenons notre souffle. Elle m'enlace. Nous nous embrassons. Puis je lui demande:
- Ça va ?
- Ouiiiii ! C'était bien.

C'est terminé. Je l'aide à se remettre sur ses pieds. Elle va ouvrir la portière arrière de la voiture, elle ramasse sa petite culotte et de nouveau elle s'essuie la chatte.

Nous nous rhabillons. Elle remet sa minijupe et reboutonne son chemisier et je remets mon jean. D'office, elle s'assied à la place du passager, à côté de moi. Jean-Louis s'installe à l'arrière. Marche arrière plus ou moins au juger sur le petit bout de route, et direction la maison. Nous roulons silencieusement, chacun de nous perdu dans ses pensées. Maintenant que nous sommes calmés, il s'est quand même installé un peu de gêne avec Jean-Louis.

Arrivés à la maison, l'ambiance se détend et tout en mangeant, nous plaisantons sur ce qui vient de se passer. Un moment, alors que Christine et moi sommes tous les deux dans la cuisine, je lui demande discrètement:
- Tu veux qu'on l'invite à dormir avec nous ?

Je n'ai pas abandonné l'idée que nous la baisions, Jean-Louis et moi, en même temps. Mais:
- Non. Seulement nous. C'était bien, mais c'est tout.

Elle a compris où je voulais en venir. Il dormira sur le canapé.

Au bout de quelques jours, Christine me dira que, maintenant, elle a des scrupules et qu'elle voudrait qu'on raconte à Michèle ce qui s'est passé. Michèle, c'est la copine de Jean-Louis. Ça fait deux ou trois ans qu'ils sont ensemble et que nous la connaissons. D'habitude elle sort avec nous, au cinéma, au restaurant, aux concerts. Pourquoi elle n'était pas là ce soir là ? Je ne sais plus exactement. Peut-être une fois encore, elle était allée voir son père en province, un type spécial qui avait tout le temps des ennuis avec le fisc et la justice. Comptable, mais un peu anarchiste qui refusait de déclarer ses revenus et de payer des impôts. Bref.

Comme pour me convaincre, Christine laisse plus ou moins entendre que, peut-être, si Michèle est au courant et qu'elle prend bien la chose, nous pourrions réitérer quelque chose dans ce genre, mais à quatre. Une partouze, quoi. Mais Christine ne le dit pas clairement. Moi, ça ne me gêne pas que Michèle soit au courant, même si ça n'aboutit pas à des parties à quatre. Ça ne me gêne pas non plus qu'elle ne soit pas au courant, et qu'on recommence avec Jean-Louis si l'occasion de présente à nouveau. Pour Christine, il n'en est pas question si on ne dit rien à Michèle. Elle me charge de convaincre Jean-Louis. Je fais part à Jean-Louis de ce que veut Christine, mais il refuse que sa copine soit au courant. Un soir, il passe à la maison pour en parler et convaincre Christine de renoncer. Christine s'obstine et devant le refus persistant de Jean-Louis, elle lui annonce qu'elle ne les reverra pas, Michèle et lui, tant que sa copine ne sera pas au courant de ce qui s'est passé. Clash !

J'essaierai bien de convaincre l'une et l'autre de faire un effort, mais tous les deux resteront sur leur position. Et nous ne reverrons plus ni Michèle ni Jean-Louis. Je me demande encore quelle explication il aura donné à sa copine pour expliquer cette brouille. Mais elle même, Michèle, ne cherchera pas à nous recontacter.
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